Kralovánszky Alán – Palágyi Sylvia szerk.: A Veszprém Megyei Múzeumok Közleményei 13. – Történelem (Veszprém, 1978)

NAGYBÁKAY PÉTER: Beriszló Péter veszprémi püspök címeres sírköve

parent de János Statileo, de ce, qui a fait le compatriote aurait pu sculpter cette pierre sépulcrale blasonée en forme expres­sément italienne—dalmate. Le monument funéraire de Péter Beriszló restauré et comp­lété par les collaborateurs du Musée de Veszprém est reposé de nouveau dans la crypte de la cathédrale de Veszprém. Péter Beriszló, en croate Petar Berislavic, est né à 1475 probablement de cette famille distinguée bosnienne laquelle se retira à Slavonie devant l'expansion turque et une partie de laquelle se réfugia par raison politique à Trogir. La per­sonne et l'activité du Péter Beriszló s'enlaçait étroitement avec l'histoire des deux premières décades du XVI e siècle du royaume hongrois. Dans sa personnalité caractéristiquement renaissance s'était allié inséparablement le pontife, l'homme d'État, le diplomate et le chef d'armée. Lui, il était le premier membre de cette série pontificale d'origine sud-slave, en sa majorité lié aussi par les liens de parenté, laquelle a joué un rôle politique si considérable dans l'histoire de la Hongrie dans le domaine de la direction de l'État et des diplomates au cours de XVI e siècle. Ses parents les plus proches étaient János Statileo, plus tard évêque de Transylvanie, diplomate excellent du roi Jean, et Antal Verancsics, l'historien, dans la suite arc­hevêque d'Esztergom etc. Sa carrière est débutée sur le plan ecclésiastique, dans la cour de l'archevêque humaniste Péter Váradi à Kalocsa. En peu de temps il est devenu prélat d'Albe Royale, et l'évêque de Veszprém, et de plus dans la suite le pape et l'empereur ont promit à lui le chapeau de cardinal aussi. Plus tôt il était sec­rétaire royal, par la suite il avait participé continuellement aux missions diplomatiques, à Venise, à Rome, en Pologne et chez l'empereur. Il était aussi dans le cortège de l'archevêque Ba­kócz à Rome. Il entretenait de bonnes rélations personelles avec les grands papes renaissances. Jusqu'au mort du roi Vladislas II. à 1516, il était l'argentier, le gestionnaire suprême des affaires monétaires du royaume. A la fois il était nommé le ban de Croatie, Slavonie, Dal­matie et de Bosnie, ce qui était le plus haut et le plus important office de l'État, en ce temps-là. La direction totale des affaires politiques, économiques et militaires de la défense des confins militaires de la Hongrie méridionale s'était centralisée dans sa main. Il ne cessait pas de s'efforcer à organiser la défense de sa petite patrie contre l'occupation turque, mais sa politique n'était pourtant pas fructueuse, parce que le Trésor hongrois était vide, les grands seigneurs restaient sourds à ses prières, les empereurs de Habsbourg n'étaient que prometteurs du se­cours, même les papes ne donnaient que des aides économiques très modestes, alors que la collaboration avec Venise était dès le début impossible à cause de son origine dalmate. Il avait acquis la plus grande réputaion comme chef d'armée. Il luttait continuellement avec succès remarquables contre les Turcs au cours des sept ans. Il était prèsque le seul homme d'État important parmi les grands seigneurs égoistes, attachés à l'argent et mentalement rétrécis, dans les deux décennies tragiques précédents Mohács, ce qui luttait avec une conviction solide, supportant aussi les sacrifices les plus lourdes pour sa patrie. Le mort aussi l'a attrapé sur le champ de battaille à 20 mai 1520. Il n'est pas le fait du hasard, que la première chanson de héros hongroise était chantée de sa personne, puisque parmi ses soldats se trouvaient beaucoup de hongrois. Selon l'avis de ses contemporains, avec lui, le dernier chef d'armé était enterré qui aurait pu sauvé Nándorfehérvár, la porte du Sud du pays. Son corps s'était transporté de Bihács à Veszprém et là il fut enterré dans la cathédrale. Le peuple croate traite dignement Péter Beriszló le vinqueur des Turcs parallèment aux Zrinyis, comme un des plus grands héros nationals. On garde pieusement le souvenir de lui à Trogir, dans sa ville natale. Son grandiose haut relief équestre ce qui orne le hall des loges de la grande place était sculpté par MeStrovic, sculpteur croate célèbre dans le monde entier. Sa maison natale est marquée par une plaque com­mémorative, son blason gravé dans une pierre sur le mur de l'hôtel de ville préconise sa gloire. Pour les images publiées de Trogir nous adressons des remerciement aux gérants du Musée Municipal de Trogir. L'adresse de l'auteur: Dr. Nagybákay Péter H - 1014 Budapest Tárnok u. 14. 132 i

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