A Veszprém Megyei Múzeumok Közleményei 11. (Veszprém, 1972)
Balassa Iván: Fejezetek az eke és a szántás Balaton környéki történetéből
nicht auf uns gekommen. Der „Pflug" bedeutete im 11.—14. Jahrhundert das Werkzeug mit der Zugkraft zusammen, er bezeichnete aber auch ein gewisses Gebiet von nach Epochen und Gegenden wechselnder Größe. Aus der Tatsache, daß vor den größten Teil der Pflüge 8—10, vor den kleineren Teil 2—4 Ochsen gespannt wurden, können wir auf Größenunterschiede zwischen den Pflügen folgern. Die Pflugscharen, die aus dem 16. Jahrhundert stammen, sind teilweise symmetrisch, teilweise asymmetrisch (Abb. 43— 50) und beweisen dadurch, daß die Arie und Beetpflüge in dieser Zeit parallel nebeneinander im Gebrauch waren. 5. Die Pflüge des 18—19. Jahrhunderts. Das 18. und 19. Jahrhundert war die Periode der vollständigen Herausbildung der Pflüge, deren Pflugscharen und Seche aus Holz verfertigt wurden. In dieser Periode finden wir auf den Dorfsiegeln oft Pflugscharen und Seche (Abb. 52—67), und zwar in allen Fällen eine asymmetrische Pflugschar als Beweis dafür, daß die Arie in dieser Zeit nicht mehr gebräuchlich waren. Die Pflugscharen, bei denen wir eine schmalere (Abb. 70.) und eine breitere Form unterscheiden können, wurden teilweise in österreichischen Hüttenwerken, teils von Dorfschmieden verfertigt. Den Holzkörper des Pfluges haben die Bewohner des Bakony-Gebirges geschnitzt, und zwar nicht nur für ihr Dorf oder für ihre unmittelbare Umgebung, sondern für den ganzen mittleren Teil Transdanubiens. Die überwiegende Mehrheit der in der Balaton-Gegend gebrauchten Holzpflüge war der Sterzsohlenpflun, d. h. die Sterze und die Sohle wurden aus einem Holzstück geschnitzt, was der Konstruktion große Festigkeit verlieh. Südlich des Balaton wurden gerade, nördlich des Balaton gebogene Grindel geschnitzt. Im westlichen Teil des Balaton arbeitete man Par ses trouvailles archéologiques, monuments etnographiques, notations et représentations datant d'époques différentes, la région du lac Balaton rend possible d'étudier la charrue le labour. Notre étude distingue cinq époques, en choisissant les périodes où le plus de données sont à notre disposition. /. La probabüité de l'utilisation de la charrue dans l'âge préhistorique. Puisque nous n'avons pas de preuves positives directes, nous devons nous référer aux prouves indirectes. Peu de grains de blés nous sont restés du néolithique, ils sont déjà plus nombreux provenant de l'âge du bronze et de l'âge de fer. La domestication de la bête à cornes est prouvée par la céramique aux dessins linéaires du groupe de Zseliz, mais nous ne pouvons supposer leur attelage qu'au tournant des 3 e et 2 e millénaires. Tout cela montre que les conditions premières de la culture à la chaurre se présentent plus tard que, par exemple, dans la Grande-Plaine. 2. Charrues de l'époque celtique. C'est au 4 e siècle avant notre ère que la première vague des Celtes arriva au bassin des Carpates, et ils envahirent la région de Balaton au 3 e siècle avant notre ère. Les Celtes étaient les premiers en Europe qui employaient des charrues au soc étroit et allongé, dont ils répandirent l'usage dans une vaste région. Des pièces remarquables en furent retrouvées dans la région de Balaton (fig. 1-3), aux sites que l'on peut attacher sans aucun doute aux Celtes. La forme de ces socs est identique avec celles que l'on retrouve à plusieurs sites depuis l'Angleterre jusqu'à la frontière de l'Ukraine. On peut attribuer aux Celtes la formation et l'usage régulier des socs au fer plat, de toute probabilité au 2 e ou au 1 er siècle avant notre ère. L'étude présente trois de ces socs (fig. 4-6) trouvés à de tels sites où la présence continue des Celtes est incontestable. mit Pflügen, in deren Sohle die Sterzen eingemeißelt waren. Bei solchen Pflügen war der Grindel immer gebogen. Später wurde das eiserne Gestell der Pflüge diesen Typs in den steirischen Hüttenwerken hergestellt. Die Radvorgestelle wurden selbst noch im 19. Jahrhundert ganz aus Holz gemacht, höchstens die zwei gleichen Räder bekamen einen Eisenbeschlag. Später wurde das eine Rad vergrößert und dieses Rad rollte dann in den Furchen. Mit dem Radvorgestell konnte man nicht nur den Lauf des Pfluges gleichmäßiger machen, sondern mit seiner Hilfe konnte auch die Tiefe und Breite der Furchen geregelt werden. Am Anfang des 19. Jahrhunderts tauchten, wenn auch noch sporadisch, die Halbeeisenpflüge auf, bei denen nur noch der Grindel und die zwei Sterzen aus Holz verfertigt wurden. In der Verbreitung dieses Typs spielte die im Jahre 1797 gegründete Keszthelyer Landwirtschaftliche Hochschule „Georgikon" eine sehr große Rolle. Nach 1850 verbreiteten sich rasch auch in den Bauernhöfen die zu Hause hergestellHalbeeisenpflüge (Vidacs, Cenker Pflug), die bis 1871 mehr als die Hälfte der Holzpflüge verdrängten. Bis zur Jahrhundertwende verschwand dann die überwiegende Mehrheit der Holzpflüge gänzlich aus dem Gebrauch. Für die Herbstsaat hat man in dieser Zeit in der Regel bereits dreimal gepflügt, während für die Frühjahrssaat nur einmal, in der letzten Zeit zweimal gepflügt wurde. Der Pflug wurde auf einer Pflugschleife zum Acker befördert, diese Pflugschleifen waren entweder V- oder A-förmig. Die Äcker wurden im allgemeinen zusammengepflügt und auseinandergepflügt, im westlichen Teil des Balaton kam aber auch der Kammanbau vor. Iván Balassa 3. Charrues de l'époque romaine. C'est aux premières an nées de notre ère que les Romains conquirent la région de Balaton et leur règne, c'est-à-dire leur influence directe dura jusqu'à 5 e siècle. Pendant cette période, bien que les terres fussent aux mains des colons romains, c'était la population indigène qui les cultivait. Deux socs à la forme de flèche de lance (fig. 7-8) — certainement parties d'un araire primitif — ont été retrouvés dans le coin ouest de Balaton. Beaucoup plus nombreux sont les fers spatules symétriques que l'on devait employer aux charrues à pattes, mis, dans la plupart des cas, parallèlement avec le sol (fig. 9-25). La plus grande partie de la nombreuses collection s'attachent à la partie occidentale de Balaton. On peut suivre les traces de leur ressemblai de forme vers l'Italie du Nord. Les différents types existaient probablement simultanément, actuellement il en est impossible d'établir un ordre chronologique. Pourtant, nous pouvons considérer comme du type le plus ancien ceux qui — à partir de la douille — forment un triangle isocèle (fig. 18). La douille de l'autre type s'élargit considérablement au dehors, ce qui prouve que le soc fixé faisait un angle aigu avec le sol (fig. 9,15). Mais, ailés et munis d'une douille d'une grandeur modérée, la plupart des socs labouraient déjà horizontalement le sol (fig. 21). En outre, des formes locales se présentaient égalementausuddulacBalaton(fig.23). Nous avons nombreuses preuves remarquables de la formation du bâti de charrue au versoir asymétrique dans la Pannonié de l'époque romaine. Parmi celles-ci, les enrayages de charrue —• composés ordinairement de trois parties — par lesquel l'âge était attaché au bâti sont importants (fig. 27-32). Les nombreux exemples prouvent qu'aux 2 e-5 e siècles, dans la région de Balaton et au Sud du lac, on employait déjà le bâti de charrue, qui est une conditions perliminaire de la formation de la charrue au versoir. Quelques données à l'historique de la charrue et du labour dans la région du lac Balaton 397