A Veszprém Megyei Múzeumok Közleményei 11. (Veszprém, 1972)

Gergelyffy András: Bátorkő és Palota. A várpalotai vár építési korszakai II.

1342) gegen die königlichen Festungen Dombó und Nyék. Hier tritt auch die Festung Bátorkő hervor, weil das für uns interessante Tauschgebiet folgendermaßen erwähnt wird: „Die Hälfte des Gutes Tikolföld, und zwar diejenige, wo die Festung Bátorkő steht". Die Festung Bátorkő kommt also unter königliche Ver­waltung und wird von dieser Zeit an sehr oft in den schrift­lichen Quellen erwähnt, und zwar bis zur Zeit der Türken­herrschaft unter dem oben erwähnten Namen und seitdem, Dans la première partie de notre étude nous avons déjà rendu compte de la mise au jour partielle de l'ensemble de bâtiments de la famille Kont. Il a été construit entre 1350 et 1397, et retrouvé dans les murs du château fort de Palota, bâti, celle-ci, entre 1440 et 1445 par les Újlaki. Le toponyme Palota («Palais») — dû incontestablement au palais gothi­que, mis au jour au cours de la décennie passée — figure dans nos sources écrites seulement depuis 1397, donc il faut chercher les antécédents d'histoire locale de notre place sous un autre nom. Vu que le château fort de Palota, bâtie au milieu du XV e siècle dans une forme moderne, régulière, munie de tours d'angle succède du point de vue des propriétés foncières aussi bien que de celui de la topographie historique militaire, au château fort de Bátorkő, il faut que les antécé­dents d'histoire locale de Várpalota se trouvent sur le ter­ritoire où se trouve le château fort de Bátorkő. Le territoire de Várpalota se situe près de la frontière occidentale du département de Veszprém. Selon les données diplomatiques du XIII e siècle, on peut affirmer avec la plus grande probabilité que le territoire de notre ville constituait le coin est du domaine ancestral, couvert de forêts de la gént Szalók, près du grand domaine de la famille Csák, du comitat de Fehér. En 1271, les membres de la gént Szalók firent le partage de leurs terres, parmi lesquelles se trouvait la région qui nous intéresse. Le territoire est mentionné par un diplôme «Várad erdő» (Forêt du petit château fort et un autre l'appelle «Tikolföld a Várad erdővel» (Terre — da der Name der am Anfang des 16. Jahrhunderts verö­deten Festung im Laufe der Zeit in Vergessenheit geraten ist, — unter dem Namen des weiter bestehenden und zu grö­ßerer Bedeutung kommenden Palota, zu dessen Mark sie auch heute noch gehört und von dessen Burg sie durch das auf die Verödung hinweisende Attribut „pußta-" unter­schieden wird. Vom alten Turm der Burg Pusztapalota ste­hen auch heute noch drei Stockwerke mit den zerstörten Überresten der benachbarten Mauern. András Gergelyffy. de Tikol avec la forêt du petit château fort). Nous retrouvons plus tard aussi la nomination «Tikolföld» et la désignation «Várad erdő» permet de supposer que dans cette forêt très étendue de Bakony, il y avait à cette époque — ou même antérieurement déjà — une place forte. Nous apprenons en 1326 que les Szalók avaient entretemps vendu la moitié du domaine partagé, aux membres de la gént Csák, seigneurs terriens du voisin comitat de Fejér. Le diplôme qui nous apprend ce fait est rédigé pour une autre opération: ce sont maintenant les Csák qui donnent leurs terres, héritées ou achetées — y compris notre contrée — au roi Charles 1 er (1308-1342) en échange de deux forteresses royales, celles de Dombó et de Nyék. C'est ici qu'apparaît le château fort de Bátorkő, puisque le domaine qui nous in­téresse de plus près est ainsi désigné: «la moitié du domaine de Tikolföld, notamment cette moitié où se dresse le château fort de Bátorkő». Le château fort de Bátorkő passe donc aux mains du roi et depuis il figure souvent dans nos sources écrites; juqu'á l'époque de l'occupation turque sous ce nom, et plus tard — puisque le nom de la forteresse devenue inhabitée au début du XVI e siècle, est tombé en oubli — sous le nom Puszta­palota (Palais désert) pour le distinguer de Palota, ce novueau château fort survivant, et dans le voisinage de laqu­elle se dressent encore de nos jours les trois étages du donjon de la vieille forteresse de Pusztapalota, parmi les restes des murailles délabrées. András Gergelyffy Bátorkő et Palota Périodes de constcuction du château fort de Várpalota IL 249

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