Az Egri Múzeum Évkönyve - Annales Musei Agriensis 14. (1976)
Kozák Károly: Az egri székesegyház románkori kőfaragványai
que la hauteur de 16 cm. Le visage sculpté sur une surface oblique „abaissait son regarde" d'une hauteur considérable sur les gens qui approchaient la cathédrale. Nous pourrions dire la même chose sur la console avec une tête d'animal fort tronquée. La tête d'une forme, qui se ramincit vers la partie inférieure a aussi été sculptée sur une surface oblique. Selon les restes de console trouvés dans un autre endroit de la forteresse (Segment K. 3.) (1971) c'est probable que cette autre console a aussi été orné d'une tête d'agneau, de bélier ou peut être d'une tête de cheval. (Gravures 3 — 8) Les figurations des têtes d'agneau, de bélier, de vache étaient considérées apotropaïques, ainsi que d'autres figurations de têtes aux yeux accentués. Une autre console avec une figuration de tête a été trouvé cette année-ci pendant le mis à jour au côté ouest de la cathédrale romane. (Segment „F"). Cette console est moins grande que celle présentée premièrement, c'est en grès rouge et le visage est presque comme un masque. Les recherches détaillées ont prouvé incontestablement que celle-ci a été faite dans le même atelier que l'autre console avec la figuration d'un visage. (Gravures 9— 10). Les yeux en amande et le néz avec la vue en coupe en forme de coin, ainsi que la bouche resemblent à l'autre oeuvre. Nous aussi sommes d'avis que les consoles avec les figurations jouaient une role apotropaïque. En supportant la gueule haut-placée de la cathédrale — selon la croyance de l'homme médiéval — celles-ci protégeaient la cathédrale, les gens qui y entrèrent ainsi que ceux y enterrés. Leur devoir était d'élloigner de la place sacrée les esprits malins. C'était probablement basé sur la croyance de la jettature et c'était une contrecharme. Les dates concernant cette question, que nous avons gagnées pendant les dernières années, nous ont convaincu qu'un groupe de ces sculptures romanes a été employé comme des symboles apotropaïques. Surtout dans les siècles XI —XII., leur rôle décoratif n'était que secondaire et les figurations mentionnés comme encore d'autres symboles (l'arbre de la vie, la croix, l'agneau de Dieu, etc), qui se trouvaient sur les portes, les fenêtres et sur les gueules des églises à cause de la croyance que ceux-là possédait le pouvoir d'écarter le mal. Naturellement ce n'est pas contradictoire au fait que déjà à l'époque de leur création et plus tard encore d'avantage, ces oeuvres se trouvaient parmi les détails décoratifs les plus précieux de nos églises. Nous tâcherons de fournir des preuves à l'appui de la question ci-haut mentionnée. Premièrement nous voudrions présenter quelques exemples référant à la jettature. Au-dessus de la porte ouest somptueuse de l'église paroissiale de Gyöngyöspata on voit un visage sculpté en pierre (gravures 11— 12). Jusqu'à présent on n'a aucune explication sur la personne cachée derrière la sculpture. La situation est pareille dans le cas des consoles aux visages humains dans les trois coins de la nef de l'église catholique de Velemér. (Gravures 13— 15) En général les sculptures de cette façon représentaient le maître architecte ou bien elles furent la personification du Bien et du Mal. Les figurations coiffées d'un chaperon, les visages comme un masque, les têtes Gorgones, qui se trouvent dans la nef de l'église de Velemér peuvent être associées — selon la croyance de l'homme médiéval — avec l'est, le lieu d'origine de la magie et du mal. Ces consoles aux visages, placées dans les quatres coins de la nef — la quatrième console a été anéantie, chose prouvée par les réparations — protégeaient l'église de Velemér contre les esprits malfaisants. Les sculptures de Gyöngyöspata avaient probablement le même but et celles-ci ont été placé sur la plus importante place — au dessus de la porte — en la protégeant contre les méchants esprits, qui essayaient de pénétrer dans l'église. Les figurations humaines sur la cuve batismale à Bábina et celles sur la porte ouest de l'église de Kisbény (Bina) — ancienne prélature des prémontrés — comme l'archange St. Michel — le 130