Alba Regia. Annales Musei Stephani Regis. – Alba Regia. Az István Király Múzeum Évkönyve. 16. 1975 – Szent István Király Múzeum közleményei: C sorozat (1978)

Irodalom – Besprechungen - Fitz Jenő: P. Petrovi, Ni u anticke doba. — Ni in ancient times. p. 360. - Fitz Jenő: N. Gudea – V. Luccel, Inscripii i monumente sculpturale in Museul de Istorie i Art Zalu. p. 360. - Fitz Jenő: E. Chirila – N. Gudea – I. Stratan, Drei Münzhorte des 4. Jahrhunderts aus dem Banat. p. 360.

P. PETROVIC, Nie и anticke doba. Nié in ancient times. Gradina, 1976, p. 202. Naissus, située dans le centre de Mésie Supérieure, à la croisée de routes importantes traversant les Balkans, bien que n'étant pas devenu l'un des centres célèbres de l'Em­pire, resta néanmoins une ville notable, un centre militaire d'importance stratégique. A base de ses nouvelles recher­ches l'auteur donne un résumé détaillé de cette agglo­mération du point de vue historique et archéologique. Les SugetS traités sont les suivants: Naissus dans les sources historiques; sa topographie et ses vestiges; Mediana; le bâtiment à fresques; la basilique avec le martyrium ; territoire de la ville, routes et agglomérations ; sociologie et économie; religion et arts. Le volume est complété par un résumé en langue anglaise et par une littérature trés détaillée. J. F. N. GUDEA — V. LUCACEL, Inscriptii si monumente sculpturale in Muzeul de Istorie si Arta Zaläu. Zaläu, 1977, p. 52, 46. tables, 1 carte géographique. Le catalogue présente un matériel de monuments en pierre considérablement plus important que la proportion numérique de Porolissum et de ses alentours. On y trouve surtout un nombre Surprenant d'inscriptions impériales datant du temps de Septime Sévère et de Philippe l'Arabe. D'est Surtout en l'honneur de Caracalla que de nombreuses épitaphes ont été érigées à Porolissum (No. 1—4), à Buciumi (No. 37—38). Il est regrettable que la qualité des photographies présentées ne correspond pas à l'impor­tance de ces inscriptions, ne permettant pas — à part quelques rares exceptions —• au lecteur de vérifier le texte. Il reste quelques remarques à faire. Pour compléter la fragment No. 4 les inscriptions No. 1—3, de la même époque, fournissent l'analogie. C'est pourquoi dans la ligne 2, au lieu de l'inscription usitée de Pio Felici Aug. il faudrait lire probablement Pio Aug. Felici. Les auteurs citent l'inscription No. 7 à plusieurs endroits d'une mani­ère différente de celle connue de la littérature. Le texte correct cependant ne peut être identifié sur la photo trés indistincte. Le seul fragment conservé et publié en ce lieu du gouverneur frappé de la damnatio memoriae, qui à été présenté par les auteurs comme T. To[ ] aurait été d'un intérêt spécial. Malheureusement le consularis continue a être non identifiable. Dans la première ligne de l'inscription 16 le texte et la photo montrent également les lettres D. M.; l'explication est donc erronnée: De(ae) Suri. L'inscription No. 56 de Tihau est des plus remar­quables du petit volume: elle nous transmet un nom de gouverneur romain. A part le nom suggéré de Postu [min]o il pourrait égelement être Postu[mian\o ou encore Postu[m]o. L'index, étant démesurément et inutilement long et détaillé, rend l'usage difficile. L'appellation en toutes lettres des noms d'empereurs n'est pas heureuse. M. Aurelius Antonius Pius signifie en ce lieu Caracalla, qui dans les épitaphes cités porte outre l'épithète do Pius aussi celui de Felix. On trouve le nom de Septime Sévère sous la lettre L (dans la forme de Lucius Septimius Severus). J. Fitz E. CHIRILA — N. GUDEA — I. STRATAN, Drei Münz­horte des 4. Jahrhunderts aus dem Bánat. Lugoj, 1974, 104 p., 35 t., 3 Ldkrt. Das kleine Band teilt drei Münzhorte aus dem 4. Jahrhundert mit. Die letzten Prägungen des aus 971 Münzen bestehenden Fundes aus Tibiscum stammen aus 364—367. Der erste Fund aus Dierna umfasst 730 Mün­zen, sie wurden zwischen 367—375 abgeschlossen. Der zweite Fund aus Dierna umfasst 1221 Münzen, wo­von die letzte Prägung auf die Jahre 383—392 datiert werden kann. 97% der ersten zwei Münzhorten und 91% des letzteren stammen aus der Periode 351—361. Das bedeutet, daß die Münzen in einer einzigen kurzen Periode (überwiegend zwischen 351—354) in den Banat gelangten, wo sie bis zu ihrer Vergrabung in die Erde nur mit einigen Münzen ergänzt wurden. Angesichts der eigenartigen Zusammenstellung des Münzfundes kann die Absicht der Autoren im weiteren alle bekannten Mün­funde aus dem 4. Jahrhundert des Banats mitteilen zu wollen, sowohl vom historischen wie vom numismatischen Standpunkt nur begrüßt werden. Es handelt sich im ganzen um 32 Münzfunde: durch diese auffallend große Menge ist es offensichtlich, daß das Banat, das Seit 271 nicht mehr zum impérium gehörte!, während dieser Periode in irgendeiner Form wieder eine wichtige Bolle Spielte. Bedauerlicherweise unterließen die Verfasser in ihrer Interpretation der Münzfunde sich mit der Tetrarchie oder dem zur Zeit der Constantin-Dynastie ausgebauten Verteid in ungssystem (S . S< )PBO N r , Limes Sarmaticus. AÉi t , XCVI, 1969, 43—53.), welches auch das Gebiet des Ba­nats berührte, zu beschäftigen. Der Geldumlauf des mit dem Schanzsystem umfaSSten Gebiets (V. LÁNYI, Zum spätantiken Geldverkehr innerhalb und ausserhalb der Langwälle im donauländischen Barbaricum. AArchHung, XXVI, 1974, 261—267.) ist der reelle Ausgangspunkt zur Interpretation der Münzfunde des Banats. J. Fiie. 360

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