A Herman Ottó Múzeum Évkönyve 46. (2007)

ELŐADÁSOK A VALLONOK TÖRTENETÉHEZ - Kálmán Magyar: Des Francais et des Wallons dans le Sud de la région de Dunántúl du Xle au XlVe siécle

et autres figures des colonnes d'Arles, figures de lions avancées supportant des colonnes de Saint-Gilles se présentent ensemble, en combinaison. Il paraît une des transmissions du style francisant de la fin du Xlle siècle d' Esztergom et de Vértesszentkereszt. Mais cette idée de Litér est fréquente dans l'iconographie des portails français, comme dans celle du portail occidental datable du milieu du Xlle siècle de la cathedral Saint-Pierre de Maguelone. Dans le tympan Jésus-Christ se présente avec les symboles des quatre évangélistes, en bas a gauches avec saint Paul et a droit avec saint Pierre. Nous pouvons tenir compte parallèlement de l'influence plus répandue de la troisième période de calme et de propérité de la construction de Saint-Gilles (1132-1179), y compris celle de l'atelier de sculpture du portail occidental (1140-1160) en Hongrie. Au début Brunus et le Maître de saint Thomas ont travaillé à la sculpture du portail. Le premier a appliqué les traditions antiques et locales, le deuxième les traditions plus lointaines (Angoulême, Souillac, Toulouse). Plus tard trois nouveaux sculpteurs se sont joints a eux, le Maître de saint Michel d'origine locale au bourgignonne, le Soft master et le Hard master. Les deux derniers ont appliqué, comme Brunus, les élément antiques et locaux. Ce style souple dit original de Saint-Gilles se présente au deuxième moitié sur les décors sculptés de l'abbaye bénédictine de Saint-Guilhem-le-d'Désert. À notre avis, cette influence s'observe sur les oeuvres sculptées d'Arles, surtout sur celles du cloître. Par la même occasion, l'oeuvre sculptée de l'atelier de Pécs, représentan le Songe des Mages, datable de la deuxième moitié du Xlle siècles est comparable au style soupe similaire du chapiteau roman sinon d'Arles, mais au Musée archéologique à Nîmes. Les oeuvres sculptées de Nîmes auraient pu s'apprêter dans le dernier quartier au bien à la fin du Xlle siècle, en partie parallèlement à l'activité des ateliers de Pécs et d'Esztergom. En tous cas, il faut considérer aussi l'alliage local de ce style méridional rayonnant de Saint-Gilles avec d'autres éléments de style français aux environs de Saint-Gilles, au Languedoc, en Provence dans la deuxième moitié du Xlle siècle. Dans le ces de Somogyvár, il pouvaient ressortir directement, mais aussi par Pécs. Dans la deuxième moitié du Xlle siècle et au début au dans la première moitié du XIHe siècle. Les variantes des doubles chapiteaux ornés de boutons, de têtes d'homme, trouvés récemment à Somogyvár, remontent à ceux du cloître d'Arles. Les chapiteaux aux boutons et aux feuilles de Montmajour et ceux aux feuilles moins stylisées de Saint­Rémy, appartenant au cercle arlésien-provençal formé au milieu et dans la deuxième moitié du Xlle siècle, servaient de leurs modèles. Les oeuvres plus souples reliables au cercle de Pécs considérées par nous comme influence bourguignonne ou bien plutôt lombarde, se présentent aussi dans d'autres formes dans le Midi, au Languedoc. Le relief du tympan de l'église de Vallabrègues (Gard) représentant le Christ et deux apôtres (saint Andres et saint Pierre) sont proches aux figures du Christ et des apôtres de Somogyvár, datées de la deuxième moitié où de la fin du Xlle siècle. Le fragment de la tête de moine de Somogyvár est comparable au fragment similaire de Psalmodi, au Sud-Est d'Aigues-Mortes. C'est-à-dire, en parlant de l'influence de style commune française-italienne (lombarde) ou bien uniquement italienne-lombarde aux ateliers en Hongrie, notamment à Pécs, datable de la deuxième moitié du Xlle siècle, on devrait considérer sans doute les dits au-dessus. De même que ce que l'influence de l'atelier mentionné de Saint-Gilles (1140-1160) en Italie a été examinée par les chercheurs italians. À leur avis, le Pontile de 562

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