Hidrológiai Közlöny 1950 (30. évfolyam)

3-4. szám - Hírek

auf der Geraden des als standig angenommenen natürlichen Ertrages Spiegelt. Hiermit wird die Bestandigkeit des Futterkoeffizienten widerlegt. Der neue Futterkoeffizient wird mit r] bezeichnet. Glei­chung 11. der Parabel der Gesamtausbeuten wird bestimmt, wo b die Anfangstangente ist. tga = 1/2-5 = 0-4 x ist der auf Lupine umgerechnete Wert des verwendeten Futters je Katastraljoch in kg, c der natürliche Ertrag des Teiches in kg. 2-5 Der neue Futterkoeffizient ist rj — f-1, wo 2-5 30c der bisher standige Futterkoeffizient der Lupine ist. Auf Fig. 3. wird Flache T 1 veranschaulicht, deren Ordinaten jeweilige Werte des unmittelbar verloren gegangenen Fut­ters auf Fischertrag umgerechnet ergeben. Diese Flache ist gleich Flache T 3, welche auf dieselbe Weise die mittel­bar verloren gegangene Futtermenge bedeutet. (Formel 15.) Flache T 4 ist der Gegenwert in Fischertrag der effektí­ven Futtermenge, die ein Wachsen des Fisches zur Folge hat. Indem man die Unterschiede der Ordinaten von Para­beln yAE und yAH, welche Flache T t umgrenzen, als Ordinaten auf Gerade AG auftragt, erhált man das Gesetz der zuerst steigenden und dann abnehmenden Ertrags­fahigkeit. (Formel 23.) Der Verfasser besimmt den Wirtschaftlichkeitskoeffi­zienten des Futters, welcher geeignet ist, um jenes Mass der Fütterung zu bestimmen, welches dem Werte der opti­malen Ertragsfahigkeit entspricht. Dieser Wert liegt bei x = 3-75c (Formel 24.). Hierauf wird die Methode praktisch erörtert, was der Wirklichkeit naher liegt. Für die Praxis werden Tafeln und Figuren gegeben, woraus jedes Moment der Betriebsplanung ersichtlich ist. Die Ergebnisse der Forschung werden wie folgt zusammengefasst: 1. Die Gesamtausbeute der Teichwirtschaft ist eine direkt proportionale Parabelfunktion zweiten Grades des natürlichen Ertrages und der Futtermenge. 2. der Futter­koeffizient ist keine Konstante, sondern eine veránderliche Parabelfunktion zweiten Grades des Natürlichen Ertrages und der Futtermenge. 3. Das Gesetz der wachsenden und dann abnehmenden Ausbeute wird bewiesen und dessen sinusoidales Verhalten wird bestimmt ; sein Maximum liegt bei 7-5c. Mit Hilfe des Futterwirtschaftlichkeits-Koeffizien­ten wird berechnet, dass die Fütterung beim Werte x = 3-75c am wirtschaftlichsten ist. 5. Es ist möglich Fischausbeute­tabellen zusammenzustellen. 6. Der Fisch-Gegenwert von unmittelbar verloren gehendem Futter wird ausgewiesen und als von dem natürlichen Ertrag und der Fütterung abhangig berechnenbar dargestellt. Station d'incubation des sandres d'Alsóörs. E. Woynárovich, d m r és sc. (Texte hongrois, figures p. 140.) U. D. C. 639.216.034.2 (439 117 Alsóörs) Création trés intéressante réalisée dans le cadre du plan triennal du Gouvernement. C'est la premiere station, á ce que nous sachions, du monde prévue uniquement pour l'incubation des sandres. Elle se divise en deux parties : 1° incubateur des oeufs; 2° bassins d'élevage des alevins adaptés aux conditions biologiques des larves incubées. Aprés avoir effectué la vidange des eaux du bassin d'élevage, sóit en les emmenant dans le lac Balaton, sóit en les disper­sant, les larves viables de 5 á 7 jours sont introduites dans leur véritable milieu de vie. La station une fois mise en fonction, le rendement des péches de sandre sera accru de 50% environ. La caverne »Hétlyuk« du mont Remete. Par S. Leel-ftssy, deur és sc. (Texte hongrois, figures p. 147.) U. D. C. 551.4 42 (Hétlyuk) L'auteur constate, tout d'abord, que le mont Remete de l'oiigine triasique supérieur consistant en calcaire de »Dachstein« et tendant á devenir carstique sous. l'effet des agents divers de la nature est une des pénéplaines la plus grandé de la montagne de Budapest, Iaquelle, de sa part, a subi des ruptures et fissurations á plusieurs reprises. Le mont Remete, comme ses pentes abruptes juveniles, aussi bien que la vallée ravineuse et profondément creusée de Remete en donnent preuve, émergea — avec toute proba­bilité — dans l'époque pleistocéne supérieur. Les formes carstiques du mont, en raison de la baisse du niveau des eaux du carso vont, á l'heure actuelle, en disparaissant. Aprés avoir traité les diverses théories par rapport a l'origine des grottes, l'auteur signale, que la naissance des grottes est trés différente. Les grottes-types possédent, en générale, une cave (mére-cave). La caverne de mérne que sa cave sont fortement preformées par les ruptures tecto­niques. Une caverne se forme le long des failles et des fentes tandis que la cave se présente.á l'endroit du croisement des fentes. La cave s'étant uné fois formée, le développe­ment véritable de la caverne est mis en train. Le piafond de la caverne, en se desserrant, s'écroule donnant ainsi lieu á la formation d'un aven. L'origine des cavernes est, donc, indépendant de l'action directe des eaux du carso. L'auteur analyse, en détail, la caverne »Hétlyuk« en arrivant á la conclusion qu'au point de vue de son aspect elle ne présente aucune forme carstique, mais elle peut étre divisée en deux parties distinctes de caractére différente : 1° Aven principal dit »Feneketlem avec une galerie secondaire s'étant développée ultérieurement. 2° Grandé Caverne comportant, á l'heure actuelle, trois, mais primitive­ment quatre avens principaux et deux galeries secondaires fortement transformées en raison de leur détérioration (état postinaturé). La mére-cave dans sa majeure partié s'est bouchée par suite de sa détérioration et son écroulement. L'auteur a réussi, en 1948, á découvrir une fente étroite impracticable conduisant du bout inférieur de la Grande­Caverne á la cave se trouvant au-dessous du Feneketlen. Sur la base de la forme de la cave l'auteur constate que la caverne Hétlyuk est une caverne préformée, de caractére carstique étant provenue de l'action des sources, actuelle­nient séche, en cours de détérioration bouchée dans sa majeure partié par des débris, argile et guanó. L'auteur s'occupe, enftn, de l'origine et l'évolution de la caverne »Hétlyuk«, Iaquelle est une cave préformée tecto­niquement dont le piafond accuse des écroulements á l'endroit du croisement des fentes et fissures. Ces écroule­ments ont fini par se répandre jusqu'á la superficie tout en provoquant la naissance des cavernes. Les écroulements ne s'effectuaient á coup mais répartis en plusieurs stades. Plus la naissance de la caverne est ancienne, plus sa destruc­tion est avancée, d'oít, la différence dans les formes des deux parties de Hétlyuk. L'áge le la caverne Hétlyuk ne se laisse pas déterminer. On est á mérne d'admettre que la mére-cave est d'origine levantine ou prepleistocéne, tandisque les avens les plus anciens (Grande-Caverne) et les plus récent »Feneketlen« se sont développées respectivement a l'époque prepleisto­céne et pleistocéne médián. Les eaux salées des environs de Budapest. Dr J. Sürü. (Texte hongrois p. 153.) U. D. C. 551.491. 3/.4. (439.151) L'auteur soumet, tout d'abord, á un examen les eaux salées de Budapest au point de vue leur teneur en chlorure, iodure et bromure, matiéres aissi bien indispensables pour les fonctions vitales des étres vivants que le vanadium, fournisseur efficace et indirect de l'oxygéne. Pour ce qui est de la teneur en potassium des eaux salées, elle joue un röle d'importance primordiale dans le métabolisme des cellules vivantes. L'auteur s'occupe du probléme des matiéres organiques qué renfei ment les eaux salées tout en admettant l'effet favorable biologique pas encore démontré des matiéres anorganiques. L'auteur signale, enfin, la détérioration rapidé des tubes intérieurs, faits en fer, des sources captées par des forages profonds ce que l'on pourrait éviteren employant la titane. Sur la base des précités, l'examen scientifique aussi bien que l'utilisation pratique des sources minérales et thermales pourraient aller sur des sentiers nouveaux. 159

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