A Fővárosi Könyvtár évkönyve 1938

Aquincum irodalma

52 Tome I. p. 3—4. La Vieille Bude ou le Vieux Offen. Sur le bord du Danube en decä, un peu au dessus de Bude est un village appellé communement la Vieille Bude, ou le Vieux Offen renommé par leux forts des Romains & par un long Aqueduc qu’on y voit. Le plus petit & le plus septentrional de ces Forts fa], bati prés d’un marais, est quarré, & fait de Briques & de Gravier couverts de terre. Le plus grand [b] est construit des mémes matériaux, & Ton trouves dans son enceinte beaucoup de restes de magonnerie : il communique avec le Danube par un főssé [c], qui du cőté oriental s’étend jusqu’ä ce Fleuve. Quant ä l’Aqueduc [d], il commence au pied des montagnes, & traversant le marais il se termine prés du dit Főssé. Il n’en reste plus que les Piles, qui sont de Brique. Peut-étre ne se tromperoit-on pás de dire, que les Romains tenoient autrefois garnison dans ces deux Forts pour la süreté de quelque grande Colonie. — Avec une planche. 20. Bonbardus, Michael Topographia magni regni Hungáriáé. Viennae : Kaliwoda 1750. [8.] 590 [12] p. Bq 911/15 p. 810 : Curtam Ptolomaei, Acincum item (aliis Aquincum) quondam intra Metro­polis nostrae stetisse pomaeria, A 11 h a m e- rus, Apianus, Irenicus, & plures antiquarii opinantur. Si, quod res est, edicere volumus ingenue, in tenebris palpitant. Multo verius illud, quia plurimorum testimoniis firma­tum, quod e patrio Annalista produximus : In agro Budae Veteris Sicambriam Civitatem floruisse. Probat id lapis quoque, e vetustis eo loci ruinis erutus, . . . Eruuntur hac etiam aetate per agros prae­dicti pagi non raro caementa, quae suis in ruinis, ac fundamentis magnificentiam Germa­nicae illius Legionis loquuntur affatim. In hoc eodem terrae tractu habuere stativa praesidia Legiones, praeter jam dictam V. Sicambricam, prima, & secunda Adjutrices, decima Augusta, & decima Gemina, dum contra Metanastas, Quados, & Sarmatas, aliosque finitimos populos ditiones Romanae Reipublicae tutarentur; duod deducitur e lib. XII. de Repub. Cap. XIII. §. II. L a z i i, Appi anique monu­mentis" Ita omni aetate opportunus humano incolatui visus est Budae situs. 21. Severinus, Joannes Pannonia veterum monumentis illustrata cum Dacia Tibissana. Lipsiae : Sommer 1770. [14] 379 [5] p. B 943/231 Vestigia coloniae Aquinci apud Ammia­num Marcellinum. 22. Pococke, Richard Voyages de R. P. Tom. 1—7. Paris : Costard 1773. B 910/150 »Le vieux Bude, qui est au nord, est surement 1’ancien Acincum ou Aquincum ; on y trouve quantité de reliefs & descriptions dans lesquelles il est fait mention de la seconde légion Adjutrix qui avait ses quartiers á Acincum . . . Nous vimes au nord du vieux Bude des vestiges des murailles de la ville & les restes d’un édifice, qui nous parut étre un amphithéátre. L’eau se rendűit ä la ville par un aqueduc d’environ une lieue de long, soutenu dans plusieurs endroits par des arc- boutans, & dönt la solidité étoit augmentée par les pétrifications que l’eau formoit, & que j’ai vues dans plusieurs autres aqueducs. On voit quantité de ruines au nord du vieux Bude, mais il m’a été impossible de deviner la nature des bátimens dönt elles sont formées. VII: 58—59. 23. Windisch, Karl Gottlieb Geographie des Königreichs Ungarn. Theil I—II. Pressburg: Löwe 1780. B 914/107 Altofen, Buda vetus, Ó-Buda, war ehedem eine grosse Stadt, und soll Sicambria geheissen haben, wie man denn die Uiberbleibsel der­selben, und verschiedene römische Denkmäler bey diesem Orte findet. — Aus den Ruinen der römischen Stadt ward Altofen gebauet. Th. I. p. 268. 24. Severinus, Joannes Dissertatio de modo inveniendi veterum Pannoniae oppidorum, in qua de Acinco, Tauruno et Singidone peculiariter dis­quiritur . . . Posonii: Patzko 1781. 64 p. B 943/266 Aquincum in agro veteris Budae substi­tisse recenset secundum opera S a 1 a g i i et Schönwisneri. 25. Pillér, Mathias & Mitterpacher Ludovicus Iter per Poseganam Sclavoniae pro­vinciam . . . anno MDCCLXXXII. sus­ceptum. Budae : Typ. Univ. 1783. Egyet. kvt. Aquincum secundum opera Schön- wisner et Salagiip. 8—9. 26. Katona, Stephanus Historia pragmatica Hungáriáé. T. 1—2. Buda: Typ. Reg. Univ. 1782—1784. [4], 906, [6J. A 43.90/76 Tom. I. p. 66 : ... »Arpadus obiisse de­buisset, quod nimium est. Valeat igitur in hoc aliorum silentio domestici scriptoris auctori­tas, qui praeterea sepultum A r p a d u m in­nuit in eo loco, ubi postea templum Albae Mariae supra Vetero-Budam surrexit.« 27. Mannert, Konrad Geographie der Griechen und Römer. Germania, Rhetia, Noricum, Pannonia. Dritter Theil. Nürnberg: Grattenauer 1792. Aq. miiz. Acincum és Contra-Acincum : p. 744—746. 28. Townson, Robert Reize in Hongarijen. Tom. I—II. Hage : Leeuwestijn 1800. B 914/150 Alt Offen eene Romeinsche legerplaats. Tom. I. p. 114—116. 29. Beudant, F. L. Voyage minéralogique et géologique, en Hongrie, pendant Pannee 1818. Tom. 2. Paris : Verdiére 1822. B 910/109 II páráit que ces villes remontent ä une trés-haute antiquité; peut-étre mérne existaient- elles lors de la conquéte des Romains ; mais au moins est-il certain que ces peuples ont eu des légions en station sur les bords du fleuve, vers cette partié. On a trouvé ä Vieux- Bude, sous le régne de Mathias Corvin, en creusant les fondations d’une église, une inscription portant: »Legio Sicambrorum hic praesidio collocata civitatem aedificaverunt, quam ex suo nomine Sicambriam vocaverunt.« De sorte qu’il páráit que Vieux-Bucfe formait alors une ville particuliére, sous le nőm de Sicambria. Bude nouveau a sans doute été

Next

/
Thumbnails
Contents