Gazdasági jog, 1940 (1. évfolyam, 1-10. szám)
1940 / 4. szám - Magyary Géza-Nizsalovszky Endre: Magyar polgári perjog [könyvismertetés]
271 Le financement de la guerre moyennant l'imposition. Si nous passons en revue les États belligérants, ainsi que les pays qui tiennent á sauvegarder, dans le conflit armé actuel, leur indépendance et leur neutralité, nous pouvons constater que la guerre et mérne la préparation á la guerre a apporté presque partout des impőts nouveaux ou la majoration des impőts existants. Le financement des dépenses militaires a lieu notamment par quatre moyens : 1° la majoration du taux de l'impőt sur le revenu, ce qui est peut-étre le moyen le plus général, 2° la taxe générale sur le chiffre d'affaires, mode de taxation avantageux pour le fisc et des lors favorisé, 3° les droits de consommation sur des articles de masse, en premiere ligne sur ceux qui ne sont pas de premiere nécessité, 4° l'impöt sur les bénéfices de guerre. La Grandé Bretagne et l'Allemagne ont effectué des majorations d'ímpöts en vue des préparations militaires des le printemps 1939, la Francé voire mérne en septembre 1938. Leur exemple a été suivi par toute une série de pays neutres. Quant á la Hongrie, la Loi XX. de 1938 a institué, en vue d'accélérer ]a cadence des investissements de la défense nationale, un prélévement sur la fortune appelé „contribution d'investissement" avec un taux progressif, payable, en régle générale, dans 5 années. Sont assujetties á cetté contribution : 1° les personnes physiques et juridiques disposant d'une fortune supérieure á 50.000 pengő et assujetties á l'impöt sur la fortune, 2° les personnes juridiques et les institutions disposant d'une fortune supérieure á 50.000 pengő et non assujetties á l'impöt sur la fortune, et 3° les entreprises assujetties á l'impőt sur les sociétés. Dr- Ádám Schmidt RECHTSSCHÖPFUNG — LEGISLATURE Die Rubrik entbált eine Besprechung der im Monat Márz in Kraft getretenen gesetzlichen Verfügungen und einen Aufsatz über das jugoslawische Handelsgesetz vom 5. Október 1937 (Dr. Ernő Bartal) und schliesslich den dritten (letzten) Teil des in unseren vorigen Nummern begonnenen Aufsatzes über die extrafiskalischen Ziele der seit dem abessinischen Kriege in Italien eingeführten Vermögenssteuer (Dr. István Cottely). LITERATUR — LITÉRATURE Magyary—Nizsalovszky: üngarisches Zivilprozessrecht, Budapest, 1940. Unter den prozessrechtlichen Arbeiten Géza Magyary's ist das standig am meisten anerkannte Werk das „Ungarische Zivilprozessrecht" benannte Buch, welches jetzt nach der Umarbeitung durch Endre Nizsalovszky, den Nachfolger Magyary's auf dessen Lehrstuhl, in dritter Auflage erschienen ist. Nizsalovszky bearbeitete Magyary's Hauptwerk mit pietátvollen Hánden. Er wollte der heutigen Generation der Rechtswahrer Magyary's Werk lückenlos vorlegen. Er ánderte auch dórt nicht darán, wo seine Ansicht mit jener von Magyary nicht übereinstimmt. An kaum 1 — 2 Stellen weicht er von dem Standpunkt der früheren Auflagen ab und dies wird von ihm auch an den betreffenden Stellen erwáhnt. Wenn nun auchNizsa-