VJESNIK 16. (ZAGREB, 1914.)
Strana - 247
247 Staaten ActîvCapitalien über 500.000 f. B. Z. besitze, in politischer Rücksicht keinem Bedenken unterliege. Dieser Graf hat sein Vorhaben geendert; weil derselbe zum Landtag keine Regales erhielt, so kehrte Er vom Baade zurück nach Rechicza und befindet sich auch gegenwärtig dort. Ich empfehle mich zu hochen Gnaden Eurer Excellenz u'nterthenigstghrstr F. C. Radichevich. Agram, den 24. August 1811. 5. " ' Državna policija je zaustavila i otvorila pismo, što ga je Drašković 10. februara 1812. pisao franceskom generalu SaintCyru u Hamburg. U arhivskim spisima pohranjen je samo prijepis pisma (sign, spisa: 1166 ex 1812). Jean Draskovich au Baron St. Cyr, Général de Division à Ham bourg. Vienne le 10 Février 1812, parti le 4 Mars, Le mois passé je suis venu pour assister la diète de Hongrie, qui n' es pas encore terminé. J'ai fait une petite Escapade pour ici et après 14 jours je retournerai derechef d'ici (sic) pour passer trois semaines ici, après je re tournerai chez moi. Mon voyage pour la France et pour Hambourg étoit re tardé par la longue durée de la Diète et à présent les circonstances politiques m'empêchent; j'avois très souhaité de Vous voir à Hambourg et de pouvoir faire mes hommages à Madame St. Cyr, à qui je Vous prie de bien vouloir exprimer ma dévotion, mais comme l'année courante, à ce qu'il me paroit, ne sera de tout tranquille, il n'y a pas à espérer, qu'on ait du tems à s'éloigner de son domicile. Vous me voyez encore indécis comme Vous m'avez laissé, ne sachant pas prendre parti ; les tems ne se sont pas encore assez éclairés et la misère en Ulyrie est la même, par les suites occasionnées dans la pre mière année. La diète d'Hongrie et les mauvaises finances de nous rendent très difficile de prendre un parti. Madame Drakowich (sic) se porte très bien et elle se souvient très souvent de Vôtre agréable société; elle est maintenant à Agram pour m'attendre là. L'Illyrie d'ailleurs m'est très indifferente, puisqu'il n'y a personne qui nous intéresserait trop depuis Vôtre départ. Le Gouverneur Général est un brave homme, mais il n'a pas les pouvoirs pour guérir toutes les plaies faites par le Gouvernement précèdent et par la politique. L'esprit public est terrible comme les opinions des habitans. Il n'y a qu'un proverbe qui prouve, dont Vous êtes l'unique qui en est exempt, c'est que tous les François venant en Ulyrie ne font que faire de faux rapports, de remplir leurs bourses et après ça de partir en laissant la pauvre Ulyrie dans un état encore pir qu' ils ne l'ont trouvé. Vous êtes le seul qui est et qui sera toujours chéri et béni par les Illyriens.