Vízügyi Közlemények, 1934 (16. évfolyam)

4. szám - XI. Szakirodalom

30 à étendre la lame d'eau venant le frapper tout en produisant des tourbillons internes. Il critique l'emploi des longs arrières-radiers qui éloignent du déversoir l'endroit du ressaut d'eau tout en provoquant la destruction de l'arrière-radier par l'eau s'écoulant à une vitesse considérable et favorisant ainsi la formation de cavités au bout de celui-ci. Les recherches de laboratoire, commencées à Karlsruhe (1905), à Graz (1914) et à Brno (1919) et poursuivies dans nombre d'autres laboratoires, ont contribué à éclaircir ce problème, mais elles n'ont fait que prouver la validité des principes établis par M. Kenessey. On doit signaler en outre, dans ce domaine, les essais intéressants du Dr. Ing. hongrois Einwachter, dont il a été question dans le volume II, 1932 de notre revue. Les recherches systématiques ont démontré que le problème de la stabilisatoin des airières-radiers ne peut être résolu que par des essais préalables, effectués sur modèles à échelles réduites. Pour les travaux de ce genre, il existe à l'École Supérieure des Sciences Techniques de Budapest un laboratoire dirigé par le Professeur Rohringer. VIII. TRAVAUX DE RECONSTRUCTION DE LA STATION DE POMPAGE DE К AR AP ANCSA. D. IHRIG. L'article s'occupe de l'examen et des travaux de reconstruction de la station de pompage de l'Association Syndicale d'endiguement de Margittasziget, station sise sur une île de 26.000 ha de superficie formée par le Danube. La salle des machines de l'usine, établie en 1904, a été construite sur une couche de béton, reposant sur un sous-sol vaseux. A la salle des machines se ratta­chent le puisard et le canal d'évacuation (fig. 2.). En 1926, on a démoli le puisard et on en a construit un autre plus profond. En 1929, à l'occasion de l'examen du puisard et de la salle des machines, on a constaté que le plafond et les murs présentent des fissures et se sont détachés du mur du bâtiment des machines. Comme on supposait que, par suite de la charge d'eau de 2-8 m, une communication d'eau s'était établie entre la conduite de refou­lement et le puisard, communication minant le sous-sol de la salle de machines et du puisard, on procéda à un examen des cavités au moyen d'injections de ciment. Les endroits des injections sont indiqués sur la figure 3 par les chiffres 1, 2 et 3. Sur la base de l'examen, on constata que, sous la salle des machines, il se trouvait une cavité horizontale, tandis que sous le puisard cette cavité était verticale. Sur la base de ces constatations, on exécuta les travaux suivants. Les cavités dans le sous-sol furent remplies par injection du ciment et à cette occasion on tint compte des circonstances suivantes : arrêt du cheminement de l'eau dans le sous-sol, choix de la matière à injecter, pression à employer, pose des tuyaux d'injection et détermination de leur nombre, fixation de la profondeur d'injection, processus de durée de l'injection et exécution d'injections de contrôle. L'injection du ciment est représentée sur la figure № 3 où les chiffres et les carrés indiquent respectivement l'ordre des injections et le volume du mortier du ciment injecté. On a injecté, au moyen de 44 tuyaux, pendant 21 journées de travail, 320 q (35-8 m 3) de ciment à une pression de 0-5—1 atrn. Le dosage du mélange était de 1:1. Les frais de l'injection étaient de 197 P par m 3 de mortier de ciment.

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