Vízügyi Közlemények, 1966 (48. évfolyam)

4. füzet - Rövidebb közlemények és beszámolók

(107)1 les digues en pierre une partie de la matière refoulée à la suceuse s'est échappée, la construction d'une digue en terre derrière la digue en pierre était coûteuse et onéreuse (fig. 1 ). C'est ainsi que l'on allait essayer d'isoler la digue en pierre en appliquant des feuilles en matière plastique du côté de la terre (fig. 2). Entre la feuille et les débris de pierres taillées on a placé une couche d'égalisation de planches en roseaux (fig.3 ). La feuille doit être chargée, les tubes de refoulement doivent être introduits plus loin, aux joints transversaux un recouvrement large de 50 —100 cm est nécessaire (fig. 4—8). Le travail d'essai a eu un résultat favorable, une économie pure de 285 Ft/m a été réalisée dans les frais de construction, à laquelle il faut encore ajouter 52 Ft/m de diminution de dépenses dans la fuite de la matière remblayée à la suceuse. 4. I. Horváth, ingénieur : Examen hydraulique du dessableur à palettes rotatives (texte hongrois p 539) La possibilité de l'emploi de dessableurs à palettes rotatives fut soulevée par les résultats favorables des bassins d'aération à brosses rotatives. Fig. 1 présente la section transversale du modèle à échelle réduite examiné. C'est la loi de Froude des modèles à échelle réduite que nous avons prise comme valable. Nous avons examiné le régime des courants pour les diverses immersions du roteur(fig. 2a—d et 3a—c). Dans chaque cas on peut trouver dans la partie médiane de la section transversale un espace au mouvement incertain. L'espace au-dessus du roteur joue un rôle décisif dans la formation de l'espace des courants. La solution proposée est comprise clans la fig. 4. 5. К. Perényi, ingénieur : Les principaux problèmes de l'économie hydraulique de l'Iran (texte hongrois p. 545) L'économie hydraulique de l'Iran est méthodique, concentré, les activités essentielles sont dirigées par le Ministère des Affaires de l'Eau et de l'Énergie (Mi­nistry of Water and Power). C'est en se basant sur des programmes de développement de l'économie que l'on réalise les grands ouvrages de l'économie hydraulique. Des 23 millions de la population du pays 70 — 80% vivent dans l'agriculture, de sorte que les 2,5 millions d'hectares de ses terres irriguées ont une importance extraordinaire. Dans la plupart des cas on applique l'irrigation par submersion ( fig. 1 ). Dans l'intérêt du développement de l'industrie et de l'approvisionnement en eau de la population on construit d'importants ouvrages de retenue, de prise et de distribution d'eau (fig. 2). Les conditions des précipitations sont très variées sur le territoire du pays (fig. 3), au poinL de vue climatologique on distingue, d'après certaines données, 6, d'après d'autres, 4 territoires principaux. La sécurité de la distribution d'eau peut être assurée en premier lieu par la construction de retenues. La fig. 4 montre les barrages construits et projetés sur le réseau d'eaux de l'Iran, ainsi que quelques autres grands ouvrages hydrauliques. La construction de digue a des traditions (fig. 5), les barrages construits récemment sont d'une solution moderne, comme p. ex. à Karaj (fig. 6) e t à Safid Rud (fig. 7 ). Les eaux souterraines sont exploitées récemment plutôt avec des puits au lieu des karizes d'antan (fig. 9). Parfois ces puits artésiens s'abiment à cause de leur mauvaise construction. Les sources jaillissant aux pieds des montagnes fournissent, également un débit d'eau considérable.

Next

/
Oldalképek
Tartalom