Vízügyi Közlemények, 1944 (26. évfolyam)
1-4. szám - IV. Szakirodalom
(11) L'Institut d'Hydrographie s'est servi de la méthode signalée sous 2°. La Figure 5 représente une onde de crue occasionnée par des pluies et la détermination d'une valeur effective du coefficient d'écoulement. Sur la Fig. 6 — correspondant à ce que le débit constant du canal est zéro ou elle est supérieure à zéro (alternative A ou B) — nous vérifions que la quantité d'eau s'étant écoulée et provenant des précipitations est représentée par l'aire comprise entre la courbe des débits journaliers et les verticaux tirés au commencement et à la fin de la onde. Le Tableau XVI contient les coefficients effectifs d'écoulement relatifs au bassin collecteur de Sárszentmihály du Canal Nádor, calculés sur la base des crues de certaine importance de la période de 1932 à 1941. Nous adoptons comme déterminant les maxima mensuels. Leur modification, suivant les saisons, figure dans la Fig. 7. D'après celle-ci, le maximum et minimum relatif se présentent respectivement au printemps et en été. Le placement des valeurs limites, le rapport des unes aux autres, voire leur nombre et leurs qualités peuvent, suivant les bassins collecteurs et, surtout, les conditions climatiques se modifier. Le Tableau XVII ainsi que les Figures 9 et 11 représentent les résultats de nos calculs se rapportant à 5 autres échelles. La carte des bassins collecteurs est représentée sur les Figures 8 et 10. En ce qui concerne la Hongrie, on peut adopter comme règle générale que le maximum du coefficient d'écoulement se présente aux mois de février—mars ou de octobre—décembre, tandisque son minimum est relevé au mois de juin—août. Les précipitations déterminantes et le coefficient d'écoulement une fois connues, on peut procéder à calculer l'écoulement spécifique. L'écoulement spécifique (q) se rapporte toujours à un certain bassin collecteur, voire à une partie de celui-ci. Si la hauteur de la précipitation de T jour de durée est h (mm), le bassin collecteur de superf icie F reçoit une quantité d'eau de hF dont a hF s'écoulent, a étant le maximum du coefficient d'écoulement. Notre problème serait très simple si, pendant la durée de la pluie, l'écoulement était uniforme. Dans ce cas, l'écoulement spécifique serait T Or, l'écoulement n'étant pas uniforme, la question est de résoudre un problème de maximum relatif très compliqué dans ses éléments constitutifs. Dans le passé, au lieu de l'écoulement spécifique, on a déterminé des débits moyens annuels ou des débits des crues (Tableau XVIII). Plus tard, on a déjà pris en considération le mode d'accumulation et d'écoulement des eaux provenant des précipitations. Korbély suivant que la durée des pluies (T) et la durée d'accumulation (d'écoulement) (r) sont égales ou ont des valeurs différentes, distingue trois cas. (Fig. 12, cas a, b et c). Les résultats de ses recherches: les débits écoulés, ressortent des Tableaux XI et XII. A l'heure actuelle il y a plusieurs procédés de déterminer l'écoulement spécifique. Turazza p. ex. supposait que la durée complète d'écoulement des eaux d'une pluie est T r . Donc, le débit moyen pendant l'unité de temps est a ^ ^ . Le maximum du débit s'obtient, T 4- r d'après la théorie, par la multiplication d'un coefficient m de correction (l<m<2). Au but du compte, l'écoulement spécifique d'après Turazza est En ce qui concerne la détermination de la durée d'accumulation (d'écoulement) т et du coefficient m ce sont Pasini, Ventura etc. qui ont fourni des formules y relatives (voir page 61 du texte hongrois). Dans notre étude, nous avons déterminé les valeurs de r et m simultanément avec le coefficient d'écoulement séparément pour chaque bassin collecteur (voir Fig. 5). En substituant à la formule précitée de Turazza la valeur h = a T n, l'écoulement spécifique est exprimé uniquement en fonction de T. Le maximum de cette fonction q — = / (T), c'est-à-dire l'écoulement spécifique, est, d'après Németh (professeur à Budapest): 3. Calcul de l'écoulement spécifique. g (lit/sec. ha) =0-1157 m