Vízügyi Közlemények, 1944 (26. évfolyam)

1-4. szám - IV. Szakirodalom

О) 5. Values ol the rate oî run-off. In conclusion of this study the values calculated on each watershed area are stated with the formulas of T urazza, Németh and Puppini. It must be remarked further that in Puppini's formula, for lack of exact data, v — 00295 ft 31 ft 2 specific storage values were taken as a basis of calculation. Information concerning the rainfall measuring stations and their periods of obser­vation may be found in the Annex at the end of this study. LE COEFFICIENT D'ÉCOULEMENT ET LES EAUX INTÉRIEURES A ÉVACUER. Par J. BOGÁRDI, Ingénieur-docteur. (Voir pages de 6 à 62 du texte hongrois.) D. C. 626-861.001.2 Partout, où, en vue d'assurer la prospérité de la production agricole, on aura soin d'évacuer l'excédent des eaux provenant des précipitations atmosphériques, la question la plus importante qui se pose est de déterminer la quantité d'eau devant être évacuée. Pour déterminer cette quantité, on a introduit la notion de l'écoulement spécifique à savoir le maximum de quantité d'eau qui s'écoule de l'unité de superficie à la seconde (lit/sec. ha ou m 3/sec. km 2). Pour déterminer l'écoulement spécifique, il faut connaître, tout d'abord, l'allure des précipitations pouvant entrer en ligne de compte, puis déterminer la quote-part des préci­pitations effectivement écoulée et, enfin, mettre en lumière — en vue de permettre le choix judicieux du maximum de volume d'eau — les divers phénomènes de l'écoulement. 1. Allure des pluies et choix des précipitations déterminantes. En procédant à déterminer l'écoulement spécifique, ce sont la hauteur et la durée des pluies qui importent le plus. La présente étude, après avoir fait connaître les ouvrages respectifs des auteurs hongrois (Bogdânfy, Korbély, Kenessey, Németh), ainsi que les recherches de quelques savants étrangers (Iszkowski , Lauterburg , Pascher, Specht), résume les oeuvres récents des savants italiens (Puppini, Fantoli, Poggi, Frosini, Forti, Kambo, Montanari) . Le rapport existant entre la durée et la hauteur des pluies fut déjà énoncé, en 1915, par le hongrois Korbély dans la forme étant actuellement en usage, qui a établi des relevés comportant les hauteurs des pluies suivant leur durée à partir de 1 heure à 5 jours (Tableau I.). En Hongrie on utilise, à l'heure actuelle, le plus fréquemment la fonction de probabilité climatique de Montanari (h — a T n), énonçant, en formule, la diminution rapide de la hauteur des pluies au fur et à mesure que leur durée se prolonge. Ce principe est au fond analogue à celui de Korbély et c'est uniquement le procédé de détermination de la hauteur de la pluie de 1 jour a et de l'exposant n qui est nouveau. La pluie critique, donc détermi­nante, occasionnant le maximum de l'écoulement n'est pas forcément la pluie de la plus longue durée, ni celle de la plus grande intensité. La pluie critique et déterminante dépend des propriétés individuelles du bassin collecteur et peut être trouvée à proximité d'une hauteur et d'une durée médianes des pluies. Dans la présente étude, nous allons déduire la fonction de probabilité climatique de Montanari pour quelques bassins collecteurs dont la superficie dépasse 500Э hectarse. Nous démontrons le procédé de détermination pour le bassin collecteur du canal Nádor. (Échelle de Sárszentmihály, S = 1448km 2, Fig. 1.) Nous avons pris les précipitations les plus importantes se rapportant à la période examinée (de 1932 à 1941) des registres des stations pluviométriques, tout en groupant les données par mois. Le Tableau II contient, à titre d'exemple, les données relatives au mois de février, sur la base desquelles nous avons déterminé pour chaque station le maximum de hauteur des précipitations tombées pendant un, deux, trois etc. jours successifs. Le Tableau III fait ressortir les séries des précipitations maxima se rapportant à des diverses stations. Ces séries permettent déjà de chercher, dans le tableau II la date de la plus grande

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