Vízügyi Közlemények, 1936 (18. évfolyam)
Kivonatok, mellékletek - Kivonat a 2. számhoz
34 le barrage-voûte de la Bromme de 36 m de hauteur, ainsi que par l'usine souterraine de Brommat de 234.000 CV. (fig. 1—5, photo. 1—5). L'usine d'Eylie par son canal collecteur captant les eaux de plusieurs rivières et par l'utilisation des possibilités naturelles d'emmagasinement offertes par les lacs de montagnes fournit un exemple d'utilisation de la houille blanche dans les Pyrénées ; la chute utilisable est de 1020 m (fig. 6). L'usine de Camon est un bon exemple de l'utilisation des forces hydrauliques à faible chute (photo 7—8) ; à cette usine est raccordée l'usine de Valentine fonctionnant automatiquement. Le barrage du Sautet de 126 m de hauteur, bien qu'il soit, d'après sa forme extérieure, un barrage-poids, rentre dans la catégorie des barrages-voûtes (fig. 8—10, photo 9—13). Le barrage du Chambon est le plus haut d'Europe ; il s'élève à 137 m (fig. 11, photo 15—16). Enfin, l'usine de Bissorte se distingue par ses conduites forcées : HD 2 = 2360. L'auteur fait connaître les projets généraux et les parties les plus remarquables des ouvrages tout en indiquant partout le rôle toujours plus important que jouent dans les constructions les recherches de laboratoire (Toulouse, Grenoble, Bellevue, fig. 3, photo 13—14). Vu que les grands périodiques se sont occupés de manière plus ou moins détaillée de la majeure partie des usines mentionnées, nous nous référons ici — au lieu de donner un résumé plus ample — à la bibliographie signalée dans l'article. L'auteur saisit ici l'occasion de remercier du bon accueil qui lui a été réservé par les autorités, instituts et entreprises français. Qu'il lui soit permis d'exprimer ici tout particulièrement ses remerciements aux personnalités suivantes pour le précieux appui qu'elles ont bien voulu lui prêter. Ses remerciements s'adressent : à M. Watier, Conseiller d'État, Directeur des Voies Navigables et des Ports Maritimes, à M. Camichel, Directeur de l'Institut Electrotechnique de Toulouse, Membre de l'Institut, à MM. Crescent et Haegelen, Chefs respectifs des Services des Forces Hydrauliques du Sud-Ouest et du Sud-Est, à M. Pardé, Professeur à l'Université de Grenoble, à M. Escande, Sous-Directeur de l'Institut Electrotechnique de Toulouse, à M. Thimel, Directeur Général de la Société Générale d'Entreprises, à M. Gariel, Directeur Général des Ateliers NeyretBeylier — Piccard-Pictet, enfin, à MM. les Ingénieurs Catala, Danel, Waither, Braunstein et Grès qui tous ont contribué à rendre son voyage aussi fructueux que possible. VII. LEVÉ DU LIT DES FLEUVES. S. HORVÁTH. (Pages 235 à 254.) Dans les levés de lit de cours d'eau, on doit avoir recours à des méthodes spéciales. Lorsqu'on représente le lit par des courbes de niveau, on se sert, comme plan de comparaison, de celui de l'étiage. Auparavant on a tendu transversalement un câble gradué au-dessus du fleuve et on a mesuré la profondeur soit par sonde, soit au moyen d'une corde lestée à