Vízügyi Közlemények, 1935 (17. évfolyam)
Kivonatok, mellékletek - Kivonat a 4. számhoz
38 de contraction prend déjà l'aspect d'un ressaut. Dans ce cas, il dépend uniquement de la hauteur du niveau aval que le ressaut se produise dans la rétrécissement même (fig. 4e) ou bien que l'eau reprenne, après un écoulement torrentiel sur un tronçon plus ou moins long, et après un ressaut, son régime fluvial (fig. 4/, photo 2 et 4). Les débits étant donnés et les profondeurs m 1 et m 2 une fois mesurées, le coefficient d'écoulement к figurant dans la formule 3, pouvait être calculé pour chaque essai. Suivant que l'on substitue à m 2 les valeurs obtenues aux extrémités, au milieu ou dans les tiers du rétrécissement, on obtient 5 valeurs de к pour chaque essai. Ces valeurs ont été portées, en fonction du rapport —2, sur un graphique afin de faciliter la comparaison entre les essais relatifs aux diverses profondeurs. Les 5 diverses valeurs de к se rapportant au même essai se trouvent sur une courbe régulière, l'emplacement des courbes, cependant, dépend du régime de l'écoulement de l'eau (fig. 5. écoulement fluvial ; fig. 7. écoulement torrentiel ; fig. 6. écoulement transitoire entre les deux précités). En principe, on pourrait mesurer m 2 à un endroit quelconque du rétrécissement et le coefficient d'écoulement apparm 2 tenant à un — donné, si l'on connaît le régime de l'écoulement, pourrait être pris sur la ligne médiane du faisceau de courbes des figures 5 à 7, ce qui permettrait le calcul du débit. Cependant, il est plus sage de mesurer m 2 dans le tiers amont du rétrécissement, parce que en amont de la ride de contraction la surface est calme et lisse. S'il se produit dans le rétrécissement un mouvement torrentiel, il est certain que m 2 baisse jusqu'à la profondeur critique, même au-dessous de celle-ci. Dans ce cas, le mesurage de m 2 est superflu et on peut choisir au préalable pour к et pour m 2 — deux valeurs correspondantes quelconque prises sur la figure 7. Donc, dans ce cas, le limnimètre enregisteur placé devant le rétrécissement donne directement le débit en fonction de m v Dans la pratique, il dépend uniquement des dimensions du rétrécissement que ce cas simple se pr Qduise toujours. e) Le coeeffiaient d'écoulement est influencé, en premier lieu, par la répartition de vitesse et par la contraction. Dans ce domaine, l'auteur a employé la méthode chronophotographique de M. Camichel (photo 5—6 ; la description de la méthode se trouve dans l'étude indiquée en bas à la page 709), mais les recherches ne sont pas encore achevées. La figure 8 en résumant les figures 5 à 7, fait ressortir également le rapport existant entre le coefficient к et le régime de l'écoulement de l'eau. Le décalage en forme de faisceau des résultats indique que la variation du régime de l'écoulement n'est pas brusque, comme nous l'avons supposé au point a), mais il s'effectue graduellement. Pour caractériser le régime de l'écoulement, M. Engel a introduit le chiffre de Boussinesq. (Voir bibliographie aux pages 703 et 705, en bas). Les résultats des essais de l'auteur n'ont pas démontré un rapport régulier avec le chiffre de Boussinesq, donc, il importerait de procéder à des recherches complémentaires afin que le choix du coefficient d'écoulement puisse s'opérer plus exactement. f) Application pratique. 1. Si en aval du rétrécissement il se produit un ressaut, 1 suffit de mesurer m 1et la formule 3 se trouve simplifiée : Q = 0 556 lj m v 2. S'il