Vízügyi Közlemények, 1934 (16. évfolyam)

4. szám - XI. Szakirodalom

28 des précipitations atmosphériques en employant la formule de Montanari h = a . t", tandis que le coefficient d'écoulement est calculé à l'aide des coefficients de l'écou­lement mensuel donnés par Pasini. Plus récemment, d'après la proposition de Puppini, on tient compte de la variation mensuelle du coefficient d'écoulement de sorte que, lorsqu'on emploie pour une superficie, soumise à l'examen, la fonction de Montanari, on part, lors de la détermination des paramètres «n» et «a», des hauteurs de préci­pitations réduites déjà par les coefficients d'écoulement. Si l'on a besoin de cela, c'est que les précipitations atmosphériques observées au cours des différents mois, au point de vue écoulement précisément par suite de la variation du coefficient dudit écoulement, ne sont pas équivalantes. Toutefois, après avoir opéré la réduction mentionnée, on peut considérer toutes les précipitations comme si celles à coeffi­cient d'écoulement maximum étaient survenues en février. Pour ce qui est de ce mois, on devrait, d'après Puppini, employer comme coefficient d'écoulement к = 0-56, chiffre qui devrait être contrôlé par région et corrigé sur la base des observations locales. Parmi les procédés italiens les plus récents et ayant pour but de déterminer le coefficient d'écoulement, on doit signaler, en premier lieu, la méthode analitique de Puppini et la méthode graphique de Visentini. Puppini est arrivé a trouver l'intégrale de l'équation p .dt = q .dt +dV — applicable à l'écoulement du volume d'eau par seconde «p» parvenu dans le lit du fleuve à un moment «t» — en déterminant par hypothèse une corrélation entre le volume d'eau s'écoulant par seconde «q» et le volume d'eau «dV» s'emma­gasinant en «dt» dans le lit. Les résultats de cette déduction, très ingénieuse, à savoir les équations № s 18—20 sont des formules suffisamment simples permettant de faire les calculs. Dans ces équations, «u» désigne le volume d'eau à évacuer par hectare et par seconde, «a» et «n» indiquent les paramètres de la fonction de proba­bilités climatiques valables pour les bassins collecteurs en question et «v» désigne la fraction revenant à chaque m 2 du bassin collecteur sur la capacité d'emmagasi­nement disponible du lit. Les recherches intéressantes de Puppini vérifient que les hypothèses ayant servi de point de départ à sa déduction correspondent également aux faits constatés dans la pratique. Dans son procédé de calcul, on peut facilement tenir compte de toutes les circonstances individuelles, la forme du bassin collecteur mise à part. Toutefois, nous ne voyons aucun inconvénient à ce que l'on exprime cette propriété caractéristique du bassin collecteur en modifiant le coefficient d'écou­lement «k» conformément à la forme du bassin collecteur. Pour simplifier l'emploi de la formule de Puppini, par ailleurs simple en elle-même, Del Pra a établi un tableau graphique. Visentini exprime les phénomènes de l'emmagasinement dans le lit par une méthode graphique en construisant la ligne représentant la variation du volume d'eau entrant dans le lit pendant la pluie, ainsi qu'en construisant la ligne représen­tant le volume d'eau écoulé par la section du lit examiné. Un exemple numérique démontre que par l'emploi des procédés de Puppini et de Visentini, en présence d'un choix judicieux des données, on peut obtenir des résultats ne différant que très peu l'un de l'autre. L'auteur, en raison des résultats

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