Századok – 2000
TANULMÁNYOK - Takács Tibor: A főispáni kar társadalmi összetételének alakulása a két világháború közötti Magyarországon 1029
A FŐISPÁNI KAR A HORTHY-KORSZAKBAN 1099 de la compétence municipale. L'exercice du droit de surveillance du comte suprême fut facilité par le fait qu'il était président des offices corporatifs de l'autodirection de la municipalité, sauf de la comité central. Les comtes suprêmes exeraient près des tâches de l'administration publique, des activités politiques importantes. Ils assuraient la majorité du parti de gouvernement dans le parlement en présidant l'organisation locale du parti de gouvernement, en coordinant les élections législatives. En plus ils avaient en générale un rôle important dans le fonctionnement de tout le méchanisme, dans les relations du gouvernement et des municipalités, et, en élargissant le contexte, dans celles du pouvoir centrale et des sociétés d'élite locales. Parmi les gouvernements de la période d'entre-deux-guerres, seul le gouvernement de Bethlen, étant en fonction plus de dix ans, avait de l'occasion et du temps de changer l'effectif des comtes suprêmes conformément à leur exigeances. Les premiers minsitres qui le sucédèrent furent obligés de travailler avec l'effectif influencé plus ou moins même par les prédécesseurs, car ils ne possédaient pas assez de soutien politique, leur mandat n'était pas assez long pour pouvoir réaliser un changement complet. Il est incontestable que la stabilité d'avant de l'effectif se désorganisa pendant le gouvernement de Gömbös. Plus de deux tiers des changements de personnes de la période étudiée fut survenu dans la deuxième partie de l'ère, après 1932, un grand nombre des chanegments peut être observé surtout dans la deuxième partie des années 1930, entre 1935 et 1939. L'effectif des comtes suprêmes ne se transformait jamais d'une façon définitivement, l'évolution des changements fut déterminée par les positions éventuelles des groupes politiques dominants. Les changements de personne "supprimés" annonçaient à la fois que les comtes suprêmes restant en fonction persistaient loyaux au régime, même s'ils n'étaient pas engagés absolument au personnage et à la politique du premier ministre. Dans le choix du personnage des comtes suprêmes les relations informelles avaient un rôle prépondérant. Surtout les services politiques, les relations politiques, les activités dans la politique du parti relatives à la députation, ainsi que les liens sociaux et mondains divergeant et les relations de parenté furent importants et dans la plupart des cas ils prévalaient ensemble - dans la mesure où cela peut être dénoncé. Entre les deux guerres surtout les officiers de comtat (et l'état) d'origines nobles, ayant une formation de juriste, ainsi que les posseseurs de biens et politiciens ayant des expériences administratives avaient de la chance d'obtenir la nomination du comte suprême. L'arrière-plan social de l'effectif des comtes suprêmes ne se transformait pas remarquablement dans la période étudiée, ! bien que le rôle de la formation de droit légèrement perdît de l'importance. Des avocats - surtout dans la première moitié des années vingt - pouvaient être nommés, ainsi que les anciens officiers militaires (propriétaires de biens et politiciens) - ceux, plutôt dans les années trente. Au début des années trente, vers 1932 la proportion des possesseurs des biens moyens et des grand-propriétaires, ainsi que des "exploiteurs" augementait provisoirement, alors que celui des anciens députés-comtes suprêmes se diminuait d'un titre provisoire. Des personnes âgées de quarante et de cinquante furent surtout nommées, pourtant, une échange de génération se déroula: à partir des années 1930 le poids I de la génération plus jeune, devenue mûre juste avant la guerre et qui se présentait dans la politique en générale en ou après 1918-1919, plus ouverte aux idées du radicalisme de droit, prévalait contre I la génération qui fut élevée et qui entra dans la politique dans l'ère plus tranquille de la double monarchie. En générale, mais pas dans tous les cas, des personnages furent nommés qui avait la I même confession que la majorité de la municipalité, plus de réformés que catholiques par rapport à leurs proportions nationales. A la fin de la période les liens locaux eurent un rôle plus important. Ces facteurs montraient seulement un balancement léger sans compter l'entrée des générations plus jeunes. Des changements plus importants et caractéristiques ne peuvent être observés que dans le cas des "vies typiques". Dans les années vingt la proportion des propriétaires de biens augemta sans cesse à l'ancontre de l'abaissement du poids des bureaucrates, cependant, dans les années trente la tendance se retourna, de nouveau le groupe des bureaucrates devint le plus important. Au milieu des années trente, la présence des officiers ministériels est particulièrement caractéristique. En 1939, de nouveau, le tableau fut réaménagé, surtout le poids des propriétaires de biens augmenta. Il est aussi typique dans la deuxième partie des années vingt, la proportion élevée des avocats et des "politiciens", tous les deux éléments renforçait l'arrière-plan politique et public. En générale le caractère bureaucratique du titre du comte suprême fut dominant qui fut soutenir et renforcé non seulement par le reglement législatif, mais al composition sociale et personnelle. Les comtes suprêmes furent recrutés d'un groupe bien déterminable d'après les facteurs d'activité, de bien et politiques. Cela fut les couches moyennes (classes moyennes, ordres moyens) en prenant en considération leurs positions, leurs origines et carrières antérieurs. La base sociale