Századok – 1947

Hírek - Francianyelvű kivonatok 367

371 ÉTIENNE KNIEZSA: Észrevételek IIa Bálint Gömiir megyéjéhez. (Remarques concernant l'ouvrage de M. Valentin lia sur l'histoire du comitat de Gömör.) L'auteur fait des remarques sur la monographie volumineuse que M. Valentin lia vient de consacrer à l'histoire des établissements du comitat de Gömör; la plupart de ces observations portent sur la méthode de la série tout entière. M. Kniezsa reproche à M. lia d'avoir rangé ses documentes par ordre alphabétique et non selon la répartition géographqiue des données dans le cadre de"s diverses régions naturelles. Il regrette de n'y pas trouver les données historiques concernant les localités ni les noms de lieu non hongrois. M. Kniezsa est d'avis que ces omissions rendront les recherches ultérieures très difficiles. En ce qui cnocerne les noms de famille il déplore aussi le mabque des prénoms, d'autant plus que, dans le comitat de Gömör, les élé­ments slovaques et ruthènes ne peuvent être distingués que par les prénoms: les noms occidentaux des Slovaques se rattachent à l'Église latine, tandis que les Rutliènes ont des prénoms grecs-orientaux, conformément à l'usage de l'Église orthodoxe. Pour terminer, M. Kniezsa fait des remarques fort judi­cieuses sur un certain nombre de noms; les étymologies qu'il discute sont celles indiquées par M. Hiador Sztripszky, c'est-à-dire le philologue qui a prêté son concours à M. lia. VALENTIN ILA: Remarques relatives à la méthodologie de la qualification des noms de famille. Se fondant sur les conclusions de son ouvrage „Le comitat de Gömör'" l'auteur examine les principes de la qualification des noms de famille et avant tout des noms de famille silaveset hongrois ou seulement hongrois des villages slaves (valaques) désignant la nationalité ou l'occupation (Rusznyák, Polyák, Orosz, Vlach, Juhász, Pásztor etc.). Un examen des noms de famille des habitants d'une même commune donne le résultat suivant: pendant une période de 10, 20, 30 années, les noms susmentionnés désignèrent dans les villages purement slaves, successivement la même famille valaque. Pourtant les formes slaves furent toujours prédomi­nentes, ce qui prouve que les mêmes personnes tout en figurant aussi sous leur nom hongrois adopté par la terminologie valaque, dans les communes à population slave, sont considérées comme Slaves et que leurs noms doivent être classés parmi les noms slaves. Ce principe signifie la mise en valeur du principe historique à l'encontre du principe linguistique entendu dans son sens rigoureux.

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