Diaconescu, Marius (szerk.): Mediaevalia Transilvanica 1997 (1. évfolyam, 1-2. szám)
Etnie şi confesiune
30 Marius Diaconescu Seulement Zenovie Pâclişanu a une attitude modérée et réalise un équilibre dans I’historiographie du theme par quelques contributions courtes mais significatives par les affirmations et les éclaircissements qu’il soutient4. On signale que pendant la période communiste l’Eglise uniate a été interdite, ce qui a détérminé la domination du point de vue orthodoxe. La deuxieme direction principale dans l’historiographie roumaine du sujet est de date récente. Elle a pris contour les demiéres années par les recherches - ou mieux dit par le tracement de cette direction - de certains historiens lai'ques, qui abordent ce theme â travers le prisme des implications sociales et l’impact de 1’Union florentine sur les nobles roumains de Transylvanie et Banat5. En général l’historiographie roumaine plus ancienne a été marquée par l’identité réalisée entre les termes “nation” et “confession”, relevée â travers le prisme d’un nationalisme caractéristique. D’un autre part, la nouvelle orientation a une tendance vers d’autres exagérations, comme un contrepoids â 1’ancienne direction, étant nécessaire encore des recherches systématiques pour mettre en valeur les implications du Concile florentin parmi les nobles roumains de Transylvanie et Banat. L’historiographie ukrainienne du théme, eréé par des historiens ukrainiens ou d’origine ukrainienne, a eu une approche du sujet seulement pour placer la fondation du diocése de Mukacevo aprés l’épisode florentin, qui est considéré la prémisse essentielle. D’habitude la théorie est argumentée seulement du point de vue théorique, l’idée est reprise d’un historien â l’autre en essayant des apports interprétatifs6. L’historiographie hongroise du théme est caractérisée soit par le commentaire accidental des certains documents au cadre des monographies ayant 4 Z. Pâclişanu, Cel dintâiu vlădică românesc ortodox din Ardeal, in Cultura creştină, Blaj, 1913, p. 162-165; idem, Propaganda catolică între românii din Ardeal şi Ungaria înainte de 1500, in Cultura creştină, Blaj, 1920, p. 3-34; idem, Ungaria şi acţiunea catolică în Orient, in Revista Istorică Română, XIV, 1944, fase. II, p. 183 et passim. 5 II se remarque par Porientation de la recherche: Viorel Achim, La féodalité roumaine du royaume de Hongrie entre Orthodoxie et catholicisme. Le cas du Banat, in Colloc/uia, Cluj-Napoca, tom I, nr. 2, 1994, p. 17-28; idem. Catolicismul la românii din Banat în Evul Media, in Revista Istorică, Bucureşti, serie nouveau, tom VII, 1996, nr. 1-2, p. 41-55; Adrian Andrei Rusu, Cnezi români din Transilvania în epoca lui Iancu de Hunedoara - Căndeştii din Râu de Mori in Revista de Istorie, Bucureşti, tom 37, nr. 6, 1984, p. 566-567; idem, Nobilimea românească şi biserica în secolul al XV- lea (exemplul haţegan), dans le volume Nobilimea românească din Transilvania (coord. Marius Diaconescu), Satu Mare, 1997, p. 131-145 (par la suite: Nobilimea românească şi biserica...)', idem, Ctitori şi biserici din Ţara Haţegului până la 1700, Satu Mare, 1997, p. 32-43 (par la suite: Ctitori şi biserici). 6 Hodinka Antal, A Munkács görög-katolikus püspökség története (par la suite: A Munkács gör.-kat. Tört.), Budapest, 1909, passim; Papp György, A Munkácsi püspökség eredete, Miskolc, 1940, p. 180- 183; Bobak Alexander, De jure patronatus supremi quoad Ecclesiam Ruthenam in Hungária, Romáé, 1943, p. 51-57; Alexander Baran, Metropolia Kioviensis et eparchia Mukacoviensis, AOSBM, seria II, sectio I, Roma, 1960, passim.