Fábián Árpád: A 200 éves szombathelyi egyházmegye emlékkönyve (1777-1977) (Szombathely, 1977)

Szigeti Kilián: A szombathelyi egyházmegye egyházi zenéjének története

alapított plébániáinak számát, s így megközelítő pontossággal megkaptuk a mai szombathelyi egyházmegye területén 1780-ban létezett plébániák számát, ami kb. 95'öt tesz ki. A déli részekhez felhasználtuk a Schematismus . .. Sabarien­­sis 1943-mas kiadását, míg Burgenlandhoz a Kirchlicher Standesausweis der Diözese Eisentadt, Eisenstadt 1968. történeti adatait. 581. L. Szigeti: Régi magy. org. Kőszeg i. m. 10. és 20—21. 1. 582. A Batthyány és Szily-féle vizitációk alapján. 583. Szigeti: Régi magy. org. Kőszeg i. m. 15—16. 1. 584. Szentgotthárdra 1 .Vasvármegye i. m. 282—285. 1. 585. Szigeti i. m. 30., 64. és 92—94. 1. RESUME Kilián Szigeti L’histoire de la musique religieuse du diocése de Szombathely L’histoire de la musique religieuse du diocése de Szombathely présente un as­pect varié. Au centre se situe la musique de la cathédrale dans la ville épiscopale. La vie du chapitre commenca á Vasvár aux premiere siécles de la royauté hongroise. C’était un chapitre collégial qui appartenait au diocése de Győr. La pratique du chant du chapitre collégial au moyen äge est connue par quel­ques fragments d'un manuscrit de Vasvár, conservés jusqu’ä nos jours comme Couverture de livre. Ce chant était le choral grégorien. II n’y a que peu d’éléments qui portent a supposer une premiére polyphonie. En 1578 la menace turque obligea le chapitre á se réfugier ä Szombathely. En 1684 l’évéque de Győr, György Széchényi, fit une fondation pour 6 musiciens qui devaient se consacrer á la musique liturgique. Lorsque Marie Thérése eut fondé en 1777 l’évéché Szombathely, le premier évéque, Jean Szily éleva á 9 le nombre des musiciens et il leur fit bátir un foyer. Nous connaissons la musique jouée pendant les XVIIIe et XIXe siécles par les cahiers et les catalogues de musique conservés. Cette musique était pareille á celle qu’on chantait partout, dans les provinces héréditaires de l’empire des Habsbourg. Les mouvements de réforme céciliens pénétrérent ä Szombathely vers 1900. Le nouveau maitre de chapelle, Vencel Statzenberg, était un éléve de l’école de musique sacrée de Regensburg. La Chorale Cécilienne fondée par lui existe jusqu’ä nos jours et chante dans la cathédrale. A l’äge du baroque, deux petites chapelles furent bäties ä Szombathely. L’une sur la place du marché, dans la ville (en 1711), l’autre, la chapelle de calvaire, sur la colline ä rauest de la ville (en 1757). Dans la chapelle de la place du marché, on célébrait les offices votifs aux fétes de Saint Florian (pour preserver la ville des incendies), de Saint Fabien et de Saint Sébastien (pour preserver la ville des épidémies). A ces offices, c’étaient toujours les musiciens de la cathédrale qui jouaient, Dans la chapelle de calvaire, on célébrait les offices de pénitence du caréme, avec chant populaire accompagné ä l’orgue. II y avait encore deux anciennes églises conventuelles ä Szombathely. Les franciscains s’établirent ä Szombathely en 1360. Au cours des lüttes de la Réforme, ils quittérent la ville au milieu du XVIe siécle. C’est seulement en 1630 qu’ils furent rappelés ä Szombathely par l’évéque Sennyei. La musique des franciscains, ä l’époque du premier baroque, était ce qu’on appelle le choral baroque. Plus tárd on préféra chanter des airs faciles en solo ou en duo, avec accompagne­­ment d’orgue. II n’y avait que rarement de la musique orchestrale chez les fran­ciscains, chaque fois avec le concours de musiciens invités. Les organistes et les premiere choristes étaient jusqu’ä la fin du XIXe siécle les moines de l’ordre. Plus tárd des musiciens laíques. Les dominicains furent appelés ä Szombathely en 1638 par l’évéque György Draskovich. La musique, dans leur église, était en partié musique orchestrale, en partié chant populaire. On y célébrait les offices divins pour les citoyens de lan­gue allemande. Appartenant á la „Provincia Imperii” d’Autriche, les dominicains hongrois avaient forcément des musicuens et des organistes autrichiens et tchéques, et ils choisissaient leur musique en style viennois. 427

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