Teológia - Hittudományi Folyóirat 4. (1970)

1970 / 1. szám - SOMMAIRE, INHALTSÜBERSICHT

FORUM. — Barna Barcza, Gebet eines Menschenfischers (zur Debatte gestellt). - Benno Mari- házi, Bemerkungen zu Tomka, Machtkirche oder Gnadenkirche? REVUE. - Béla Csanád, Grundfragen der biblischen Katechese. Verfasser zeigt anhand prak­tischer Beispielen, wie man die Ergebnisse der modernen Exegese verwerten kann. Nicht nur der Bibelunterricht, sondern die ganze Katechese muss die Hl. Schrift zur Grundlage haben. — Gyula Reicbardt, Vollkommene Reue und Kommunion. - Gyula Vass, Das Volk Gottes von Dunakeszi im Spiegel dreier Jahrhunderten. RÉSUMÉ La Rédaction: 25 ans depuis notre Liberation. ISTVÁN JELENÍTS: Ombres et signes. (Notes sur la théologie des symboles) La coutume est de considérer l’image et le Symbole comme des instruments d’explication illus- tratifs. Au moyen de l’analyse de textes poétiques, l’auteur de l’étude prouve que cette expli­cation n’est pas satisfaisante. L’image n’est pas seulement un instrument évocateur, mais aussi une confession, gardienne des réserves personnelles et de souvenirs, dépositaire d’une „presence”. Depuis longtemps, poétes et théologiens ont dit que l’univers était un livre. Ce livre parle non seulement de la sagesse et de la puissance de Dieu, mais aussi de son amour et de sa miséri- corde. C’est la théologie du testament de Noé qui le motive. L’univers est un lieu de ren­contre entre l’homme et Dieu et par contre, tous les phénoménes qui rendent le monde cos- mique autour de nous ménent également ä Dieu. C’est cette oeuvre divine agissant des bases cosmiques jusqu’au Christ par les signes liturgiques, les fétes et les sacrements qui s’accomplit en nous et autour de nous. ISTVÁN GÁBOR CSELÉNYI: La sainteté de la vie chrétienne. La séparation de la vie á l’église et au dehors de l’église constitue un danger réel pour l’homme pratiquant sa religion; il ne peut s’en défendre qu’en établissant consciemment l’har- monie de ces deux vies. La prise de conscience du fait que ce n’est pas uniquement par les sacrements que la grace peut nous étre dispensée nous y aide beaucoup; la sanctification de la vie se rapporte aussi á la vie quotidienne. Les sacrements sont les sources d’énergie de la sancti­fication des jours de semaine. L’humanité du Christ qui commence par le baptéme et qui conti­nue á se manifester, á croitre dans les autres sacrements s’accomplit dans la série des situations de la vie, c’est ainsi que toute la vie chrétienne revetira le caractére sacré d’une adoration dans „L’áme et la justice”. BÉLA GYÉRESSY: La sainte vie d’un chanoine. Eusebius, en hongrois özséb, fondateur béatifié de l’ordre des ermites de Saint-Paul est mórt en 1270. Son mérite est d’avoir fondé l’unique ordre de religieux hongrois. C’est une source historique, une histoire manuscrite de la collection de manuscrits de la Bibliotheque de l’Uni- versité. II faut souligner que le récit ne comprend aucun trait de légende et qu’il décrit cette institution d’ermites encore trés répandue en Hongrie au ije siéde conformément á la vérité. C’est le chanoine d’Esztergom qui a réuni en ordre sévére d’ermites, ces religieux vivant isolés ou en petite communauté. ANDRÁS SZENNAY: Vers le dialogue entre croyants et non-croyants. L’auteur parle d’abord des conditions du dialogue: il ne faut jamais oublier que croyants et non-croyants ne vivent pas dans le monde mais dans les families, les lieux de travail, ils doivent vivre ensemble, qu’ils le veuillent ou non. Croyants et athées disposent de nombreux sentiments communs et possédent des valeurs communes. C’est le grand mérite du papé Jean XXIII d’avoir fait ressortir ces valeurs communes. L’humanité a des affaires communes et les chrétiens doivent découvrir que la croyance en Dieu comporte en elle-méme la foi en 1’Homme. II faut que l’esprit du dialogue sóit pénétré de l’estime de la personnalité humaine. Chacune des deux parties doit s’édifier sur la mérne base existentielle: elles sont toutes deux compo- sées d'hommes qui interrogent et qui cherchent. II convient de dire aussi ici qu’il nous faut chercher la vérité. C’est pourquoi il nous faut tester fidéles dans sa manifestation. On ne doit pas oublier les tensions qui accompagnent nécessairement le dialogue. Nous ne pouvans ad- mettre l’athéisme, mais ne négligeons pas les valeurs humaines qui s’y trouvent. Le dialogue ne dóit pas comporter de discrimination. 59

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