Tátrai Vilmos szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 87. (Budapest, 1997)

SZILÁGYI, JÁNOS GYÖRGY: Secrets cachés au fond des réserves

10. Les esquisses préliminaires sur les deux faces de l'amphore de la figure 4. dernier et le plus remarquable disciple.

24 Le Peintre de Tithonos l'utilise cependant volontiers - mais non de manière systématique -, parfois même sur des figures féminines (p. ex. 1, Ibis, 14). La suite de feuilles de lierre apparaît souvent sur les premières petites amphores et parfois sur les lécythes et les amphores dites « de Noie » du Peintre de Berlin avant d'être quasiment « monopolisée » par le Peintre de Tithonos qui en orne souvent ses amphores et lécythes (12, 13).

23 24 Beazley, JHS 42 (1922) p. 76; Kurtz. D. C. in The Berlin Painter, Oxford 1983, p. 54 et note 214. Quelques exemples chez le Peintre de Berlin : Beazley, JHS, op. cit., pl. 2 et 3, figures du côté droit, également : figs. 3, 4, 6-8. Le trait en question revient assez souvent chez le Peintre de Providence et celui de Londres E 342. Sur les amphores du Peintre d'Achille, voir Oakley, J. H., The Achilles Painter, Mainz 1997, pis. 46-51. D'une façon moins nette, le même motif apparaît aussi à l'extérieur de l'aire de rayonnement du Peintre de Berlin, en particulier chez quelques décorateurs de coupe (Makrón, Peintre de Télèphe). 25 Sur les vases du Peintre de Berlin, cf. Neer, R. T., in CVA Malibu 7, p. 6, ad pl. 331 (le nom du Peintre d'Eucharidès y figure sans doute à cause d'un écart de plume). Le même motif apparaît aussi sporadiquement chez d'autres peintres : p. ex. CVA BrMus 5, pl. 67,2 et CVA München 2, pl. 68,4 (les deux amphores « de Noie » sont du Peintre de Londres E 342) ; Boardman, J., Athenian Red Figure Vases : The Classical Period, Londres 1989, fig. 56 (la lécythe du Peintre de Bowdoin, Richmond, Virginie).