Varga Edith szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 77. (Budapest, 1992)

SPRINCZ, EMMA: « Christianissima regina et augusta Pulcheria »

9. Poids en bronze. Budapest, 10. Poids en bronze. Musée des Beaux-Arts Budapest, Musée des Beaux-Arts pour la première fois par R. Delbrueck.

7 Partant de la coilTure et de la forme du diadème, il les a comparés aux représentations des augusta de la dynastie de Théodose, et a abouti quant à la date de leur fabrication aux années 400-460.

8 Depuis 7 Delbrueck, R., Spätantike Kaiserporträts, Berlin 1933, pp. 229-231, fig. 76, pl. 122-123 ; sur les poids en buste à suspension : Wessel, K., Gewichte, in RBK II, pp. 791-794, avec littérature antérieure ; Philipp, H., Zu einer Gewichtsbüste aus dem Kerameikos, AM 94 (1979) pp. 137-159. 8 La coiffure composée d'une double tresse épaisse ramenée au sommet de la tête a été adoptée pour la première fois par Aelia Flacilla (épouse de Théodose I, augusta 379-386), sa statue en pied, grandeur moitié nature : Paris, Cabinet des Médailles, Delbrueck, op. cit. (1933) pp. 163-165, pl. 62 ; à partir de ce moment la coiffure est à la mode chez les membres féminins de la dynastie de Théodose, combinée avec un diadème de pierres précieuses ; la mode reste conservée sur les frappes jusqu'à Ariane (474-517) ; Delbrueck, R., RM 28 (1913), pp. 326-335, pl. 18 ; Wessel, J., AA 61-62 (1946-47), pp. 65-69. Sur le diadème de pierres précieuses : Wessel, K., Insignien, in RBK III, pp. 378-384, pp. 455-460, avec littérature antérieure. Sur les médailles frappées par la dynastie : Hahn, W. Moneta Imperii Romani. Die Ostprägungen, Wien 1989, pl. 1, 9 et pl. 2, 30 (Aelia Eudoxia Arcadii, augusta 400-404). pl. 1, 14, 17 et pl. 2, 19 (Aelia Pulcheria, fille de la précédente, augusta 414-453), pl. 2, 21 a-b (Galla Piacidia, fille de Théodose L, augusta 421 et 427-450), pl. 4, p. 80 (Eudocie, femme de Théodose II, mère de Licinia Eudoxie, augusta 423-252).