Varga Edith szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 68-69. (Budapest, 1987)

SZILÁGYI, JÁNOS GYÖRGY: Un pionnier

52. Fragment d'un couvercle de vase de Chalcis. D'après Institute of Classical Studies, Bulletin Nr. 18, 1971, p. 3. fig. la grecques; les premiers ateliers qui commencèrent à imiter sur place la céramique importée doivent être également cherchés dans cette région. 55 On a réussi à trouver des preuves pour démontrer à Véies l'activité d'un deuxième atelier local de la céramique peinte géométrique presque aussi ancien que celui du peintre de Casale del Fosso. 56 Les résultats des fouilles d'Ischia et les sources écrites nous poussent avec juste raison à supposer un rapport entre la fondation en Italie des premières colonies grecques d'origine eubéenne, c'est-à-dire de Pithécusses et de Cumes, et l'apparition de l'importation eubéenne en Etrurie et son écho local, 57 même si cela ne veut pas dire que les premières pièces importées soient arrivées des 55 Dernièrement Cristofani, M., in Forme di contatto e processi di trasformazione nelle società antiche, Pisa — Roma 1983, p. 241—242 et n.6 (avec la littérature précé­dente); Dehl, op. cit. (ci-dessus n.6) p. 129. Les arguments d'Isler (loc. cit., ci-dessus n.6, p. 44—47) qui date l'hydrie de Tarquinia d'une période tardive ne sont pas con­vaincants; cf. dernièrement sur le mobilier funéraire Iozzo, M., in Civiltà degli Et­ruschi (ci-dessus n.12) p. 60—61, puis Canciani, F., in CVA Tarquinia 3, Roma 1974, p. 34, ad pl. 26, fig. 3—4 (vases géométriques locaux du troisième quart du 8 e siècle) et Paoletti, O., in Civ. degli Etr., p. 75 et id., Arch. Anz. 1986, p. 407—414 (une tasse eubéenne d'environ 750 de Tarquinia). Une ceinture de bronze contemporaine de l'activité du peintre de Casale del Fosso, trouvée en l'Eubée (Close-Brooks, J., Bull. Inst. Class. Stud. 14, 1967, pp. 22—24), doit provenir d'un atelier de Véies (Bonomi Ponzi. L., Annali Perugia 22, 1984—85, p. 85). 56 MEFRA 92 (1980) p. 597 et n.14; cf. Isler, loc. cit. (ci-dessus n.6) p. 30—31 et 42. Pour le moment je ne vois pas de raison suffisante d'y rattacher les deux fragments romains (MEFRA 89, 1977, p. 487, fig. 9; Isler, îoc. cit. p. 30, n° 4). Momentanément les autres non plus ne peuvent pas être attribués à la même main d'artiste. 57 Ridgway, Alba p. 121 sqq. et 180—182 (avec litt).

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