Garas Klára szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 56-57. (Budapest, 1981)

LÁSZLÓ, PÉTER: Statue de Ptahankh au Musée des Beaux-Arts

3. Statue-bloc de Ptahankh, côté droit. Budapest, Musée des Beaux-Arts Sur la stèle la femme présentant des offrandes à la déesse d'origine syrienne pour que celle-ci guérisse son mari malade porte le nom ou seulement ——^ ^ ^Ul^ 1 yi- Cette identité des n indications sur l'origine étrangère du nom de la soeur de Ptahankh ou même sur les liens familiaux de Ptahankh. La question étant trop complexe, nous traiterons dans une prochaine étude le personnage de Ptahankh. La statue de Hanovre aussi fournit quelques détails sur la parenté de Ptahankh : á3 hmt n r £ ? nh j hr l-sm c .w Pth­C nh m3 c hrw ,,fils de la servante de »celui qui est au sud de ses murs«, chef des chanteurs Ptahankh juste de voix." On obtient ainsi une image claire de la personnalité de Ptahankh. Lui et sa soeur sont les enfants d'une esclave d'origine syrienne donnée au temple de Ptah et dont le mari fut probablement un Egyptien. D'après le nom égyptien de Ptahankh et l'origine probablement étrangère de sa soeur M(a)ia, les parents ne furent pas de même origine. Ce phénomène — des noms égyptiens et étrangers portés par les membres d'une même famille —• est connu aussi dans d'autres sources. 18 C'est donc son origine et les traditions familiales qui amènent la soeur de Ptahankh à la déesse guérisseuse hourrite Astarte pour lui demander de préserver la santé de son frère et peut-être de guérir son mari malade.

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