Garas Klára szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 55. (Budapest, 1980)

SZILÁGYI, JÁNOS GYÖRGY: Peintre de Sevres 50?

séparée de ses oeuvres plus tardives, une réponse univoque à la question soulevée ne semble pas possible. Le fait que les oeuvres du peintre de Sèvres 50 se sont intégrées à l'oeuvre du peintre des Visages blancs, comporte encore une conclusion. Trendall, lui, avait distingué, au sein de l'unité AV I deux groupes, celui des Visages blancs et celui de Frignano, et le peintre de Sèvres 50, il l'avait rangé dans ce dernier. 24 A la base de ce qui a été dit jusque là, il semble que cette stricte séparation à l'intérieur du Groupe AV I ne peut être soutenue, ni du point de vue stylisti­que, ni du point de vue iconographique. Il est bien probable qu'en possession de nouvelles matières, le tableau qu'offre ce groupe de la ,,deuxième école de Capoue" deviendra encore moins compliqué. 25 De même, toute une série de questions soulevées à plusieurs reprises et avec insistance par Trendall concer­nant la distinction entre les groupes AV I et II, doit attendre pour avoir une réponse définitive. 26 En ce qui concerne l'amphore de Budapest, il suffit de signaler à ces propos combien les motifs ornementaux et figurés du peintre d'Astarita sont parfois proches des motifs tellement caractéristiques des vases du peintre des Visages blancs. 27 JÁNOS GYÖRGY SZILÁGYI 24 Pour le Groupe AV I, voir LCS, p. 377—397; Suppl. I., p. 68—71 et SuppL, II. Londres, 1973. p. 214—219 (nouveaux problèmes et attributions). 25 Dans sa lettre mentionnée dans la note 23, Trendall fait allusion à ce problème soulevé par l'apparition de nouvelles matières qu'il traitera d'une façon plus détaillée dans le volume III de LCS SuppL, en préparation. 2ti LCS, p. 398, 399 (en bas de la page); Vasi italioti ed etruschi a figure rosse e di età ellenistica. La Collezione Astarita nel Museo Gregoriano Etrusco. Città del Vaticano, 1976. p. 23; etc. 27 Cf. p. ex. la figure de femme affligée assise de la face A de l'amphore de Winthertur avec celle de Budapest (LCS, p. 400, n° 271, avec la littérature antérieure et pl. 156, 2; CVA Schweiz 5, pl. 21,1—4) et les deux éphèbes en manteau de la face B de cette même amphore et d'une autre amphore du peintre (Trendall: Coll. As­tarita, cit., pl. 10,2) ainsi que l'„arbre de palmettes" latéral de l'amphore du Vatican (ibid., pl. 10,3) avec le schéma visible sur le vase de Budapest et sur lè reste des va­ses du Groupe AV I, traités ci-dessus et qui sont en rapport étroit avec celui-là. Pour la question en général, cf. encore Szilágyi: CVA Hongrie 1, ad pl. 24, 4—6.

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