Garas Klára szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 52. (Budapest, 1979)
POGÁNY-BALÁS, EDITH: Remarques sur la source antique du David d'Andrea del Castagno a propos de la gravure d'Antonio Lafreri d'apres les Dioscures de Monte-Cavallo
23. Antonio Lafreri: Les Dioscures du Monte-Cavallo. Gravure sur cuivre lieu. Il s'en élève comme s'élevaient les restes de colonnes des ruines classiques de Rome, les colonnes du temple de Saturne au Forum, et comme les Dioscures de Monte-Cavallo (fig. 21) au Quirinal dans le Rome du quattrocento/ 1 quand ils n'étaient pas encore entourés de hauts édifices, tels que les artistes visitant Rome à l'époque pouvaient les voir. A mon avis, c'est ce groupe monumental à Rome qui inspira le David d'Andréa del Castagno aussi. 4 Les Dioscures du Monte-Cavallo pouvaient être vus pendant tout le moyen-âge à Rome, parmi les ruines, mais non pas sous le sol, dans la proximité de thermes de Constantin, cf. Michaelis, A. : Monte Cavallp. Mitteilungen des deutschen Archäologischen Instituts. Römische Abteilung. 1898. 248—274.; S c h e r e r, M.: The Marvels of Ancient Rome. New York, 1955.; Pogány-Balás, E. : On the Problems of an Antique Archetype of Mantegna's and Diirer's. Acta Históriáé Artium. XVII. Budapest, 1971. Fasc. 1—2. 79; -Des dessins furent faits au milieu du XVe siècle, par: Pisanello, d'après le personnage à gauche dont le socle porte l'inscription „Opus Fidiae". Milan, Ambrosiane, vol. 214. Inf. lOv. Repr. : Degenhart, B. — Schmitt, A.: Gentile da Fabriano in Rom und die Anfänge des Antikenstudiums. Münchner Jahrbuch der Bildenden Kunst. 1960. p. 128. Abb. 81.; — Fra Angelico: Dioscure de gauche avec le cheval, Londres, British Museum. Repr. : Degenhart, B. — Schmitt, A.: Corpus der italienischen Zeichnungen 1300—1450. I. Berlin, 1968. No 373. repr. 1—4. 308 Taf.; Francesco di Giorgio: Dioscure de gauche, Florence les Offices 125 E v. Repr.: Berenson, B. : The Drawings of the Florentine Painters. II. Londres, 1903. 131, v. I. pl. X. „Alunno di Benozzo". Degenhart-Schmitt: op. cit. attr. „Francesco di Giorgio" p. 128; — Au début des années 1500, dans son cahier d'esquisses de
