Kaposy Veronika szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 44. (Budapest, 1975)

EISLER, JEAN: L'utilisation en Hongrie de deux gravures sur bois de Lucas Cranach l'aîné

37. V. Stoss: Epitaphe de Callimaque. Cracovie, Csdise dominicaine. combat avec le dragon soit au sabre soit à la lance. 9 Le monument de Spisska Sobota montre la contamination des deux types. Indépendamment des deux armes avec lesquelles le saint de Spisska Sobota terrasse le dragon, en réunissant ainsi le «Schwertkampf » et le «Lanzenkampf», nous trouvons une explication toute naturelle de la position de l'épée qui diffère de celle du modèle. Très souvent, par exemple pour la Décapitation de Sainte Barbe, Cranach renonce à reproduire tout entier le sabre, accessoire de première importance dans l'action, afin de réunir dans un ensemble serré les personnages aux mouvements hardis. Ainsi, sur la gravure, le long tranchant du sabre est caché afin de ne déranger le contours de l'ensemble que forment le cavalier avec son cheval, de ne pas tracer une hgne qui perce le relief du fond, le feuillage, le panache flottant de l'homme et du cheval. A Spisska Sobota, devant le fond décoratif, la longue ligne horizontale de l'épée ne gène aucun 9 V o 1 b a c h, W. F.: Der heilige Georg. Bildliche Darstellung in Süddeutschland mit Berücksichtigung der Norddeutschen Typen bis zur Renaissance. Studien zur d. Kunstgeschichte, Bd. 199. Strasbourg, 1917. pp. 74— 80. Nous connaissons nombre de gravures où Saint Georges tient à la main une épée, il a déjà jeté sa lance qui est par terre ou est enfoncée dans le dragon (p. e. Schongauer B. 51). Iii

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