Radocsay Dénes - Gerevich Lászlóné szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 34-35. (Budapest, 1970)

URBACH, SUZANNE: La «Vierge de Douleur» de Hans Baldung Grien au Musée des Beaux-Arts

45. Retable de Roudnice. Prague, Narodni Galerie élaborés, par contre l'interprétation iconographique de la Vierge de Douleur à figure entière est d'un laconisme frappant. 26 Ces deux personnages affrontés, le Christ mort et la Vierge qui pleure sur lui, apparaissent dans les représentations de la suite des événements bibliques égale­ment, notamment dans les scènes de la Déploration du Christ mort ou du Christ apparaissant à la Vierge. Ces deux scènes étaient la source des tableaux de dévo­26 Panofsky, R.: Imago Pietatis. Ein Beitrag zur Typengeschichte des Schmer­zensmanns und der Maria Mediatrix. Festschrift für M. J. Friedländer. Leipzig, 1927, et O s t e n, G. von: Der Schmerzensmann. Typengeschichte eines deutschen Andachts­bildwerkes. Berlin, 1935 ; M e r s m a n n, G. : Der Schmerzensmann. Le point de départ de l'évolution du type: la Vierge tient dans sa main l'image de piété. Au XIII e siècle, l'image miraculeuse grégorienne se complète de la figure de la Vierge pour devenir pour ainsi dire la scène de la Déploration du Christ (tableau dit de la Casa Horne). C'est vers 1300 que se constitue dans la sculpture (Colmar), et plus tard dans la peinture le type debout du Christ de Pitié.

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