Radocsay Dénes - Gerevich Lászlóné szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 26. (Budapest,1965)
HARASZTI-TAKÁCS, MARIANNE: Études sur Toulouse-Lautrec
26. Toulouse-Lautrec: Officier de cavalerie. Berlin, National-Galerie ne connaissons que par sa reproduction, et qui a été vendu en 1933 à la vente Blot à un prix très élevé. Ce tableau intitulé «La Sphynge» (fig. 35) porte la date de 1898 qu'acceptent tous deux spécialistes qui l'ont publié. 23 Lautrec n'a que rarement réussi à faire une composition si fine, perceptible aussi dans la reproduction, à poser les couleurs froides avec une telle légèreté et à représenter le charme féminin fragile comme dans cette toile, ce qui, d'ailleurs n'était peut-être jamais son intention. Ses contemporains écrirent à juste droit qu'il voyait en laid tout ce qui était autour de lui, et qu'il exagérait encore la laideur du monde. 24 Dans la préface du catalogue de l'exposition d'affiches de Hambourg, en 1896, l'auteur qui se signait M. B., et qui était sans doute libre de préjugés, écrit lui aussi: «Lautrec ist der Maler des Ungewöhnlichen, des Hässlichen, der berechtigte Realist, der mit Kraft und Geist seinen Gegenstand durchdringt, der das Lebendige dekorativ und das Charakteristische im Extrakt giebt.» 25 Et cet auteur ne jugeait que d'après les affiches où l'expression est un élément constitutionnel fondamental du genre, et, n'ayant pas connu les modèles, il ne put savoir dans quelle mesure Lautrec les avait déformées. 23 M a c O r 1 a n, P.: Lautrec le peintre. Paris, 1937. p. 16, et Adhémar Bauer -Colin — Doumergue - D o r t u — Julien — O r 1 a n — P e r r u c h o t — Rheims — Roger-Marx: Toulouse-Lautrec. Paris, 1962. p. 217. - J o yant, M.: Toulouse-Lautrec. Paris, 1926. N° 297 dit qu'elle est une femme da maison. 24 Edmond L e p e 1 1 e t i e r écrit dans le n° du 11 septembre, 1898 de «Echo de Paris»; «... son talent curieux, son talent mauvais, le talent d'un être difforme, qui, autour de lui, voit tout en laid, et qui exagère les laideurs de la vie.» 25 Plakat-Ausstellung. Hamburg, 1896. Museum für Kunst und Gewerbe, p. 55.
