Antall József szerk.: Orvostörténeti közlemények 69-70. (Budapest, 1973)

TANULMÁNYOK - Torrilhon, Tony-Michel: A pathologia Bruegel festészetében (francia nyelven)

Fig. 49 Le délire du paranoïque est un délire d'interprétation avec idées de persécu­tion : du gamin qui passe, il fait un voleur : « le monde est mauvais, on me poursuit, on veut me voler mon argent, on me coupe ma bourse ». A cette hallucination s'en ajoute une autre : — la présence de trois pointes situées devant le paranoïaque, sous ses pas .,. « pour me blesser les pieds ». C'est un délire au stade d'organisation et non encore au stade systémati­sation. La curieuse gravure intitulée LES GROS POISSONS MAN­GENT LES PETITS (Fig. 51) est vraisemblablement consacrée à la mythomanie vaniteuse sim­ple, dont la femme au premier plan serait un exemple. Voici un autre proverbe illu­stré : DONNER DE LA TETE CONTRE UN MUR (Fig. 52) (— 1558 — Berlin). L'étrangeté de cette oeuvre est surprenante. On peut penser que Bruegel nous montre ici une tentative de suicide chez un dément pré­coce.

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