Némethy Endre, Takács Lajos szerk.: Néprajzi Közlemények 5. évfolyam, 3-4. szám (Budapest, 1960)

Vargyas Lajos: Magyar népdalok francia párhuzamai

SbHÏÏ » Ssbornik za Narodni Umotrcrenija (26-tól:) i knizsnina. Schmitz, I.E.: Sitten und Branche, Lieder, Sprüchvörtsr und Räthsel des Bifler Volkes. Trier, 1866. Simrock, K.: Die deutschen Volkslieder. Basel, á.n. 3stoilov, A.: Pokazalec na pecsatnite prez XU. vek blgarszki narodni peszni. Szófia I. 1815-1860 1916. II. 1861-1878. 1918. Vater, S.; Narodni peszni et Szofi.jszko i o* blizkite kraischa Szófia, 1942. ShNÏÏ 43. Wec?t*'.*lin, J.B,; Chansons populaires de l'Alsace. 1-2. Paris, 1883 Wölfl<im, E.: Nassauische Volkslieder. Berlin, 1894. ZuraiShlen, H.: Des Dülkener Piedlers Liederbuch. Niederrheinische Volkslieder. Viersen, 1875. Vargyas, L«: Parallèles entre chansons populaires hongroises et françaises. - L'auteur met en parallèle quelques chansons populaires hongroises, françaises et allemandes et suggère la possibilité ou la probabilité de leur provenance de la France médiévale. Tu que la matière allemande qu'il eut la possibilité d'étudier est restreinte et fort incidentelle la question de l'origine française ne se pose que sous forme de possibilité et attend une solution définitive des recherches futures. Les textes en question sont les suivants: 1. Le gars qui ne veut se marier. D'Harcourt, No. 89., Gerold No. 19 « Paris No, 71. Le chant hongrois consiste de strophes de trois vers, à répétition et avec refrain. C'est une forme fréquente en franqai? mais exceptionnelle en hongrois. En même temps elle présente une divergence nette d'avec la structure strophique des variantes allemandes ayant une grande unite de rédaction. La concision qui caractérise le hongrois l'apparente davantage avec le cha.il fran­çais qu'avec l'allemand, plus minutieux dans son récit. 2. La chanson de l'Aveine. En ce jui concerne Le f axt" le ceite chanson ce sont les variantes allemandes qui sont plus proches de la

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