Pogány Ö. Gábor - Csengeryné Nagy Zsuzsa dr. szerk.: A Magyar Nemzeti Galéria Évkönyve 1. szám. (MNG Budapest, 1970)
Expositions 1923. Budapest. Maison des Artistes Alkotás. 1928. Budapest. Salon National. 1929. Vienne. Künstlerhaus. 1934. Budapest. Salon National. Exposition d'hommes de génie sans éducation artistique. 1938. Amsterdam. Hongaarsche Oertalen, du 3 au 24 janvier. 1964. Cegléd. Rétrospective. Bibliograph ie Ernő Kállai : Új magyar piktúra (La peinture hongroise moderne;) Budapest, 1925. P, 63-65. Jenő Bálint : Benedek Péter. 1928. Ernő Mihályfi : Benedek Péter. Dans le journal Magyarország (La Hongrie) du 27 août 1928. Károly Lyka : Benedek Péter. Dans la revue Uj Idők (Temps nouveaux) 1928. N» 45, p. 546. Zsigmond Móricz : A földmunkás mint festőművész (L'ouvrier agricole-peintre). Dans le journal Magyarország du 28 octobre 1928. Focillon : La peinture aux XIX e-XX° siècles. Paris, 1928. Rudolf Bcdő : Benedek Péter. Dans la revue Művészet (Art). Lenke Haidisch : Benedek Péter 75 éves (Péter Benedek a 75 ans). Dans la revue Művészet, mars 1965, p. 46. Imre Péter : Kiállítási krónika (La chronique des expositions). Dans la revue Művészet, mars 1965. p. 44-45. Júlia Szabó ; Benedek Péter félszázados művészi pályája. Művészet. 1969. dec. ELEK GYŐRI (1906-1958) Xé n Tiszaladány. le 16 juillet, 1906, il a passé son enfance dans la région de Tokaj. En 1919, il s'est blessé à l'œil gauche;. Il a fait son apprentissage chez un forgeron à Tokaj. En 1931, il a envoyé ejuedemes elessins à la rédaction du journal Vasárnap (Dimanche) et a reçu, en réponse à son envoi, l'encouragement des rédacteurs et le livre de Jenő Bálint sur Péter Benedek, artiste naïf très connu à l'époque. Au début des années 1930, il s'est fixé à Budapest, travaillait à l'usine Goldberger comme manoeuvre, habitait dans une voiture; de déménagement, puis dans une habitation misérable en sous-sol, crevait de faim et peignait de plus en plus souvent. Dans ses tableaux animés, peuplés de nombreuses figures, il présente la vie des habitants de Tiszaladány et de Tokaj : noces, enterrements, ve;ndanges, foires. Ein ce temps, il jouit déjà de l'aide de plusieurs amateurs d'art et arrive à se faire remarquer par les écrivains populistes aussi. Aux années 1940 et 1950, il étudie régulièrement et son style se rapproche du naturalisme. Il est mort à Tiszaladány, en 1958. Expositions 1934. Budapest. Exposition d'hommes de; génie sans édue;ation artistique. 1938. Amsterdam Hongaarsche Oertalen. 1964. Linz. 1966. Bratislava. Triennale. Bibliographie Jenő Bálint : Reportage dans le journal Heggel du 20 août et du 3 septembre 1934. Eme") Kállai : Együgyű piktorok (Peintres naïfs). Dans la revue» Új Idők (Temps Nouveaux), 1936, n" 13. Kaiméin Ujszászi : Győri Elek. Ottó Mezei : Két naiv festő (Deux peintres naïfs) : Gajdos János < a t Győri Elek. Dans la revue Valóséig (Réalité), septembre 1966. Iván Vitányi : Emlékezés Győri Elekre és Gajdos Jánosra. Művészet, 1963. II. Ágota Muraközi : A magyar parasztfestők és a népművészet viszonya. A Nyíregyházi Jósa András Múzeum Évkönyve. XI. Bp. 1969. JÁNOS GAJDOS (1912-1950) Né dans une famille paysanne; à Geszteréd, il a commencé à travailler très jeune. 11 est entré comme apprenti chez un cordonnier, en 1929 il s'est installé à Budapest d'où il s'est rendu en Autriche;. Ami el'Elek Győri, il a habité avec lui pendant quelque temps à Budapest. A partir de la fin des années 1930, il s'est consacré entièrement à l'art dans lequel il avait débuté vers 1930. Quelques mécènes lui ont assuré, à lui et à sa famille, une modeste existence. Ses compositions monumentales à plusieurs figures sont inspirées par les souvenirs de sa vie à la campagne. Toiles de grandes dimensions sur lesquelles couleurs et formes sont disposées en bloc, elles représentent des foires, des fêtes villageoises, les travaux des champs. Aux années 1940, il a travaillé dans l'atelier de Vilmos Aba Novak et après la Libération, il a été admis à l'École Nationale des Beaux-Arts. 11 est mort prématurément d'une maladie des poumons.