dr. D. Fehér Zsuzsa - Kabay Éva szerk.: A Magyar Nemzeti Galéria Közleményei 2. szám (Budapest, 1960)

dévissait son stylo pour fixer sur le papier ses visions les plus affreuses, dont il fit, durant les trois ou quatre mois qu'il passait ehe/, lui, des tableaux ou des pages graphiques achevés. Ce goût du travail qui ne le quitta pas jusqu'à sa mort, l'apparente au grand poète hongrois Miklós Radnóti, mort en martyr qui, lui aussi, travailla jusqu'au dernier instant de sa vie, malgré les conditions inhumaines dans lesquelles il vivait. Les nouvelles expériences du peintre devaient ajouter une nouvelle note à la peinture visionnaire d'Ámos. Au fur et à mesure que ses pressentiments se réalisaient, ses gammes de couleurs, d'abord discrètes et effacées, se renforçaient et ses visions nébuleuses se concrétisaient. Des verts, des bleus et des oranges vifs, purs soidignent cette nouvelle étape de son déve­loppement et ce sont alors surtout deux couleurs sym­boliques — le rouge tragique du sang et le noir écra­r>7. Imre Amos (1007-1044) L'ange de In mort. 1938. Arnos Imre (1907-1944) : Halál angyala. 1938.

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