Technikatörténeti szemle 11. (1979)

TANULMÁNYOK - Makkai László: L'apport de l'Europe orientale a l'évolution des moyens de transport: cheval - étrier - char

armé) Budapest 1972 (surtout p. 89—92.) vénáit d’étre renforcée par une trouvaille archéologique, voir parun étrier de fér découvert dans un tombeau hunnique en Mongoiie et publié par István Erdélyi: Mongóliában a hunok nyomában (En Mon- golie á la recherche des Huns) Élet és Tudomány, 1971. 5 Gyula László: Etudes archéologiques sur l’historie de la société des Avars. Archaeo- logia Hungarica SN XXXIV. Budapest 1955., et A honfoglaló magyar nép élete (La vie du peuple hongrois conquérant sa patrie) Budapest 1944. 6 L’idée de l’étrier comme condition de la formation de la chevalerie occidentale fut reprise avec beaucoup d’esprit par Lynn White pr. (o. c.), son argumentation lie pourtant trop directement la technique aux relations sociales, dönt le rapport nous semble étre plus compliqué. 7 Sur les circonstances socio-économiques dans lesquelles la chevaliere et le féodalis- me prirent naissance voir László Makkai: Les caractéres originaux de l’histoire éco- nomique et sociale de l’Europe orientale pendant le Moyen Age. Acta Historica 1970., et Feudalizmus és az eredeti jellegzetességek Európában (Féodalisme et les caractéres originaux en Europe). Történelmi Szemle, 1976. 80. c. p. 25 9 Gyula László: Beiträge zur Volkskunde der Avarén. Archeológiái Értesítő, 1942. p. 341—346. 10Lynn White jr.: o. c. p. 70. 10 Cité par Treue, W.: Achse, Rad und Wagen. München 1965. pp. 228—233. 12 J. Smolian: Zur Frage der Entwicklung der Wagenfederung. Blätter für Technikge­schichte, Wien 24/1962. p. 148. Mieux documenté par L. Tarr: The History of the Carriage. Budapest 1969. pp. 184—208. 13 J. Venedikov: Der thrakische Wagen. Sofia 1960. La reconstruction y essayée fut souvent contestée, sous peu par Lynn White jr. dans son article: The Origins of the Coach (Proceedings of the American Philosophical Society 114/1970. pp. 423—431.). II semble que l’époque romain tardive connaissait une maniére primitive de la sus­pension du corps du chariot, mais la forme vraiment praticable en est due aux peuples de l’Europe orientale. Un. pared chariot est mentionnée au Xe siécle chez les princes slaves par Ibrahim ibn Jaqub. L’idée fut transmise (probablement par les Normands) en Europe occidentale, mais sans grand succés puisque les illustra­tions des chariots suspendus ne s’y trouvent que trés rarement dans les manuscrits et cessent d’étre représentées avec le XIe siécle. II ne reapparaitront qu’au XVe siécle, cette fois par transmission hongroise. 14 Treue o. c. pp. 200—202. 15 M. Jankovich: Pferde, Reiter, Völkerstürme. München-Basel-Wien s. a. pp. 97—99. 10 On a longtemps pensé que les chariots scandinaves du premier millénaire av. J. C. auraient été munis d'un essieu avant mobile, mais il se trouve maintenant que les reconstructions savantes portaient ä faux. Les fameux chariots d’Oseberg et de Dejbjerg eurent en effet des essieux avant rigidement fixés. Voir H. Mötefindt: Die Erfindung des Drehschemels an vierrädigen Wagen. Geschichtsblätter für Tech­nik und Industrie 6/1919. p. 40. Ses conclusions tirées d’une reconstruction erronée furent refutées récemment par A. C. Leighton dans sa communication au Ve Con- grés International d’Histoire Économique (Léningrade 1970) intitulée: Technologi­cal Consideration of Early Medieval Vehicles. 17 Illustration chez Treue o. c. p. 219. 18 Lynn White jr.: Technologie médiévale ... o. c. p. 74. 19 Les plus anciennes représentations de palonniers remontent au XIIe siécle, l’une se trouve sur la porté de bronze d’une église ä Novgorod, l’autre sur le calice du trésor de Trzemeszno (Pologne), reproduites chez J. Matuszewski: Poczqtki nowozyt- nego zapr^gu kohskiego. Kwartalnik Historii Kultury Materialnej II (1954) p. 652. Quoique trés schématiques, il n’est pas exclu qu’elles représentássent des essieux avant pivotants, tandis que sur les illustrations occidentales jusqu’au milieu du XIII£ siécle (et souvent mérne plus tárd) les palonniers sont totalement négligés ou fixés au corps du chariot, ce qui montre que les peintres n’étaient pas familiers ä l’essieu avant mobile. Cf. Tarr o. c. ill. no. 222, pl. XLIV, XLV. 20 W. Jonas: Die Produktivkräfte in der Geschichte 1. Berlin 1969. p. 151. ill. no. 87., Tarr o. c. pl. XLI. (Aprés J. Miélot: Vie et miracles de Notre Dame. Bibliothéque Nationale, Paris). 82

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