Budapest Régiségei 24/3. (1977)

FÜGGELÉK - Matolcsi János: A budai királyi palota északi előudvarában feltárt XIV-XV. századi állatcsontok 179-198

La présence d'animaux non productifs est prouvée par les os de chien et de chat. Toutes les deux espèces sont représentées par quelques os, et chacun par un crane. C'est surtout le crâne du chien qui en dit long sur la vie pénible de cet animal. Les bosselures, les lésions du crane ont pu se produire au cours de chasses et sont peut être dues à des défenses de sanglier. Les fractures du crânes permettent de supposer que l'animal avait aussi perdu un oeil. Mais ces lésions ne pouvaient causer la mort de l'animal. Il est difficile de définir F espèce vu leur grande variété, mais il est sûr que le crâne examiné ressemble le mieux au crâne des braques actuels. Parmi les oiseaux de basse-cour seule la présence de poule peut être démontrée. La grande quantité d'os montre que la chair de la poule et du poulet était très appréciée à la cour royale. Les 211 os de poule retrouvés constituent les 5,9 % du contingent d'os, tandi que leur proportion par rapport aux individus est de 14, 2 %, ce qui montre leur importance économique. Le nombre relativement grand des os de poule permet l'examen de la conformation à l'échelle de la population, d'où il apparait que les caractéristiques dimensionnelles d'os appartiennent au domaine de variations des os identiques des poules médiévales. Leur taille moyenne accuse une constitution une plus petite que celle des poules retrouvées précédemment dans le quartier du Château de Buda. Dans le ravitaillement des habitants du palais royal de Buda la chasse et la pêche jouaient un rôle important que ne montre à première vue le taux des os (9, 16 %), car dans certains cas on n'a qu'un seul os signalant la présence de certaines espèces de gibier. Les 48, 3 % des os de gibier appartiennent à quatre espèces de mammifères: cerf, chevreuil, sanglier, lièvre. Et plus de la moitié des os de mammifères sont des os de cerf. Les preuves directes de la chasse au cerf sont les rares trouvailles où la pelle de l'archéologue a mis au jour également la flèche qui les a frappés. Les entailles que nous remarquons sur les bois des cerfs sont les signes du commencement du façonnage. Dans le cas des bêtes sauvage, il est intéressant de noter la rareté du sanglier et la fréquence relative du lièvre. Les os appartenant à la classe des oiseaux (Aves) sont les 8, 2 % du matériel total d'os, mais 5,9 % reviennent à la poule domestique. Le s 83 os d'oiseaux sauvages se partagent entre 8 espèces. Parmi celles-ci dans le matériel d'os subfossile, mis au jour dans Faire du Château de Buda c'est la première fois qu'ont paru l'oie des semailles ( Anger fabalis Latham), le cygne chanteur ( Cygnus cygnus L. , 1758), l'outarde (Otis tarda L. , 1758), le pigeon bleu (Columba oenas L, 1758), la corneille cendrée (Corvus cornix L. , 1758). Une espèce qui n'appartient pas aux oiseaux, mais que nous mentionnons ici à cause de la première apparition est la cistude boueuse (Emys orbicularis L, 1758). Dans le matériel examiné il y avait une quantité remarquable de restes de poisson (Pisces). Cette quantité, d'après le nombre des pièces, est presque la même que celle des oiseaux, et constitue les 24, 9 % des restes d'os de bêtes sauvages. Les os de poisson ont permis d'établir la presence de la carpe (Cyprinus carpio L. , 1758) de silure ( Silurus glanis L. , 1758) et du brochet (Esox lucius L., 1758), dans la première période du dépouillement. 196

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