1910. ÉVI NÉPSZÁMLÁLÁS 1. A népesség főbb adatai községek és népesebb puszták, telepek szerint (1912)

I. Általános jelentés - Szöveg - 11. A lakóházak falazata és tetőzete

17* ment du chiffre proportionnel des mariés dans les comitate. Mais aussi les extrêmes, à ce point de vue, sont moins grands dans les villes que dans les comitats, sans compter que le nombre plus ou moins grand de militaires provoque déjà, à lui seul, un certain changement dans la répartition au point de vue de l'état civil. Ainsi, par exemple, sur 100 individus demeurant à Komárom, il n'y a que 31*1 unis par le mariage, tandis qu'il y en a à Hódmező-Vásárhely 43-8. Parmi les comitats, celui de Baranya, connu d'ailleurs par ces mariages précoces, occupe la première place par son chiffre proportionnel de 49*7 de mariés, tan­dis que le comitat de Lika-Korbava situé au bord de la mer, d'où l'émigration est excessivement grande, ne dispose que de 34"2% d'individus mariés. Des divorcés, un nombre disproportionnellement plus grand habite les villes que les comitats, ce qui s'explique par le fait simple, que les cas de divorces se produisent, en général, plus fréquemment dans les villes municipales que dans les comitats. De ce chef, la proportion des divorcés atteint déjà dans les villes 0*5%, tandis que cette proportion n'est que de 0"2% dans les comitats. 6. Population au point de vue de la langue maternelle. De la population totale du Royaume de Hongrie 10,050.575 individus ont déclaré le hongrois d'être leur langue maternelle ; le nombre des Alle­mands comporte 2,037.435, celui des Slovaques 1,967.970, et le nombre des Roumains, bien supérieur à celui de ces deux nationalités, mais tout de même ne dépassant pas les 3 millions, comporte 2,949.032 personnes. Les Ruthènes se trouvent représentés par 472.587 individus ; les Croates par 1,833.162, les Serbes par 1,106.471, surtout dans la Croatie­Slavonie, et finalement 469.225 individus ont déclaré d'autres langues (notamment le venède, le bounié­vatze, le tsigane, le tchèque-morave, le polo­nais, le bulgare et l'italien) comme leur langue ma­ternelle. Les données de la répartition des langues maternelles suivant les parties constituantes du Royaume de Hongrie, comparées aux données de l'année 1900, sont contenues dans le tableau suivant : Parties constituantes du Royaume i Hongrie propr. dite... Croatie-Slavonie Royaume de Hongrie Hongrois Allemands Slovaques Roumains g "S Croates Serbes Autres en 1900 i 8,651.520 90.781 8,742.301 » 1,999.060 136.121 2,135.181 2,002.165 17.476 2,019.6« * 2,798.559 920 2,799.479 424.774 4.673 429.447 J ! 191.432 1,490.672 1,682.104 437.737 610.908 1,048.645 333.008 64.753 397.761 Hongrois Allemands Slovaques 00 a '3 S o PS 3 i î Croates Serbes Autres en 1910 io | u 9,944.627 105.948 10,050.575 1,903.357 134.078 2,037.435 H | a i a 1,946.357 21.613 1,967.970 2,948.186 846 2.949.032 464.270 8.317 472.587 il 194.808 1,638.354 1,833.162 It | 17 461.516 644.955 1,106.471 401.412 67.843 469.255 L'accroissement décennal de la population, d'après les langues maternelles, ressort du tableau suivant Parties constituantes du Royaume i Hongrie propr. dite Roy. de Hongrie.... Augmentation de la population totale de langue maternelle hongroise allemande slovaque roumaine ruthène croate serbe autre en chiffres absolus de 1900 à 1910 1 1 1 4 s 1,426.278 205.650 1,631.928 1,293.107 15.167 1,308.274 - 95.703 - 2.043 - 97.746 -55.808 4.137 -51.671 6 149.627 - 74 149.553 7 » 1 39.496 3.644 43.140 3.376 147.682 151.058 23.779 34.047 57.826 10 68.404 3.090 71.494 totale de langue maternelle hongroise c a S 8 "3 slovaque • .2 'S S 0 O u i 5 a o o ! autre en •/, de 1900 à 1910 H 8-6 8'» »1 il 14'» 16-7 15-0 13 -4'8 -Il -4'e 14 -2> 23't -2-« a 5-. 5-« it 9-. lO-o 17 h 9-» 9-0 H 5'* 5'« 6-1 il 20-5 4-8 18-0 La population hongroise proprement dite accuse donc une augmentation de 15'0% en face de l'accroisse­ment de 8*5% de la population totale. On ne constate donc un accroissement dépassant la moyenne que chez les Ruthènes et Croates — mais chez ces derniers seulement dans 11 Croatie-Slavonie. Le nombre des Serbes et des Roumains ne s'est accru que dans Népszámlálás I. une mesure restreinte — c'est-à-dire de 5*5, respecti* vement de 5'3%, — par contre celui des Slovaques, mais notamment celui des Allemands a subi une diminution assez importante. Les habitants «d'au­tre» langue maternelle accusent un accroissement remarquablement grand (de 18*0%), mais cela ne provient que du fait qu'on a recensé les Tsiganes,

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