Borsa Iván: Romániai levéltári anyagról készült mikrofilmek az Országos Levéltár Filmtárában 1964. január 1-én (Levéltári leltárak 28. Budapest, 1964)
en pièces de 1-3 prises. Chacune des enveloppes est cotée par une lettre et par un numéro d'ordre. Le bordereau résume les unités du matériel archivistique, enregistré sur pellicule et il indique: sous quelles enveloppes sont-elles à trouver. Étant donné que l'entreposage des films dans des séries s'est fait en général dans l'ordre de leur entrée a la Filmotjièque, le conspectus ne peut pas répondre à la question: quelles boites renferment les microfilms faits sur les documents de chacune des archives ou chacun des fonds. Pour cette raison, il était indispensable de grouper du moins- partiellement les données.de conspectus par Archives et à l'intérieur de celles-ci, par fonds, conformément a l'ordre de dépot^orière ginaire du matériel archivistique enregistré. /Voir la I / ère Donc, la I partie des trois volumes similaires déjà parus groupa les microfilms de la Filmotheque d'après le critère suivant: au moment de l'achèvement de la rédaction du répertoire auxquelles des Archives du pays en question fut-il conservé le matériel archivistique microfilmé? Les pellicules furent enregistrées en plusieurs étapes et dans une période relativement longue /2-3 décennies/ pendant laquelle le lieu de conservation des 'fonds pris sur microfilms fut plus d'une fois changé. C'était le parti le plus sur en vue que le classement par archives soit fait conformément à l'état d'une date donnée /la date de l'achèvement de la rédaction du'volume/. Mais, quant au présent volume, en dépit de tous nos efforts, nous n'avons pas réussi d'appliquer cette méthode qu'en cas du matériel archivistique des Archives Historiques de la Filiale de Cluj de l'Académie de la RPR, ainsi qu'en cas des collections des musées et des églises confessionnelles. Nous ne connaissons que partiellement l'état actuel du matériel archivistique conservé aux Archives d'État, et une systématisation reflétant d'une part l'état actuel, d'autre part un état antérieur, nous paraissait impossible. Par conséquent, nous étions dans la nécessité de prendre de base une époque antérieure où le lieu de conservation de la totalité des documents en question nous est connu.