Magyar Cserkész, 1961 (12. évfolyam, 1-12. szám)
1961-02-01 / 2. szám
\^D/\'&>A «\on<Ua\ Samenvattlng Deze internationale uitgave van hét tijdschrift Ilagvar Cserkész (Hongaarse Padvinder) is gewijd aan het Jaar I960, toen het vijftigjaar bestaan van de Hongaarse padvinderij werd herdacht. Ten gevolve van het verbod opgelegd op de padvinder beweging door de Communistisehe regering van Hongarije sedert 19^8, deze Kerdenking kon alléén plaatsvinden onder de Hongaarse padvinders, die als vluchtelingen in aehttien verschillende landen leven. Lustmun-kampen werden gehouden in Nooid-Amerika, Zuid - Amerika, Europa en Australie.— In de lijn van internationale aktiviteiten de volgende meest belangrijke gebeurtnissen kunnen worden opgesomd: Deelnarae van negen Hongaarse padvinders aan de derde wereld- Indaba in Nederland, gehouden in het padvinders-buitencentrum Ada's Hoeve te Ommen; bezoek van vijf Hongaarse padvinders aan de Vierde "Pan-Arab Jamboree" in Tunis en een toer van vriendschap door West- Afrika. Dit tijdschrift bevat artikelen en photos van al deze gebeurtenissen. Bovendien zijn er inlichtingen versterbt betreffende Hongaarse padvinderskampen in IToord en Zuid-Amerika en de nadvinderswerkplaats. Benevens de beste Mensen aan de tweede Caraiblsche Jamboree (die zal worden gehouden te Trinidad a.s. April) waarnaar wij een uitnodiging hebben ontvangen. De Hongaarse padvinders miien hiermee hun hartelijke dank betűigen voor de vriendelijke ontvangst door TJ allen getoond in de echte geest van het vierde padvindersgebod. /Ommen, Pays-Bas, A out 1960/ Neuf chefs éclaireurs hongrois, venant de quatre différents pays, prirent part ä cette grande recontre couronnée de succes. Le camp fut merveilieusement organisé par les hétes hollandais. Ils fournirent mérne le soleil, un accompiissement extraordinaire dans les Pays-Bas. Le programme fut concentré autour de discussions quotidiennes et d’expositions, avec ample temps libre pour un échange d’idées entre les 600 participants. L’espirit d’éciaireur, la discipline et le sens de co-opération furent de premier ordre. Le groupe fut capable de se comporter en parfaite harmonie, de donner toute leur attention aux Conferenciers ou de s’asseoir pieusement au pied d’un feu de camp sous les étoiles brillantes. Et pourtant, á n’importe quel signal donné,fes campeurs d’Indaba pouvaient se séparér en petits groupes excités, pour rire et plaisanter ou se délasser au son de la musique d’un orchestre a l’auberge d’ Ada. La présence d’éciaireuses sjouta beaucoup au pitorresque du camp. Nous, membres de la déiégation Hongroise, trouvérent le camp un endroit ideal pour renouveier de vieilies amitiés ou pour en former de nouvelies. Notre propre Association étant un mouvement mondial en soi-méme / rappelezvous que nous sommes actifs dans quatre continents!/ au sein mérne d’une grande organisation mondiale, avons de plus en plus de liens internationaux. Alors que dans le passé, la plupart de nos amis étaient d*Europe, aujourd’hui,ncus nous sentons chez nous permi les Asiatiques et les Africains. Quelques cempeur orientaux d'Indaba se souviennent encore de la visite de la patrouiile hongroise de Jamboree en 1959*D’autres, les Africains spécielement, nous donnérent des conseiis utiles et des contacts pour ie voyage d’Afrique que qiatre d’entre nous aiiaient entreprendre aprés l’Indaba. Le monde, en eff et, devien.t toujours pius petit et les chénes majestueux d’Ommen furent les témoins d’une grande chose qui devrait, et nous l’espérons le sera, répétée souvent dans le futur. 10