A Veszprém Megyei Múzeumok Közleményei 10. (Veszprém, 1971)

Keve András–Sági Károly Jenő: Emlékezés Vönöczky Schenk Jakabra (1876–1945)

überall in der Welt hochgeachteten Namen. 1939, beim Aus­bruch des Zweiten Weltkriegs, nahm er aber den ungari­schen Namen „Vönöczky" an, um auch derart sein Ungar­tum zu bezeugen. Im Jahre 1941 wurde er in den Ruhestand versetzt, doch beließ man ihm „in Auftrag" die Leitung der Zentralanstalt. Die Bürde der sich bis in die späten Nachtstunden hinzie­henden, ruhelosen Arbeit hatte aber gesundheitliche Schäden zur Folge. Seit 1930 mußte er sich wiederholt wegen Herz­schwäche in Spitalpflege begeben, so auch im Jahre 1944. Aber auch am Krankenlager ließ er sich fortlaufend über die Agenden der Zentralanstalt unterrichten und behielt deren Leitung fest in der Hand. Im April 1944 befand er sich in der Pflege des Sanatoriums von Balatonfüred, von wo er nach dem mehr Ruhe versprechenden Kőszeg zu seinem Sohn ging. Aber auch vom Krankenbett aus beschäftigte er sich mit der Schriftleitung und den Korrekturarbeiten der „Aquila"-Zeit­schrift. Als Ende 1944 die Stürme des Krieges bereits Kőszeg erreicht hatten, verlor er jede Verbindung mit der Budapes­ter Zentralanstalt. Am 22. Februar 1945 wurde das Städt­chen Kőszeg von einem Fliegerangriff heimgesucht, in dessen En commémoration de Jakab Il est né à Óbervász, le 2 juin 1876. Son père était maçon et voulait que son fils aussi se fasse artisan. Le jardin de leur petite maison familiale s'étendait jusqu'au Canal François, et la faune ailée des roselières du canal éveilla de bonne heure l'intérêt de Jakab Schenk. L'autre passion qui le préoccupait était le livre: il voulait toujours lire, apprendre. Son talent apparut à l'école primaire. Il fit ses études secondaires au lycée de Szarvas. Il donna des leçons privées pour qu'il pût continuer ses études. Il gagna déjà sa vie. Après le baccalauréat il s'inscrivit à l'Université de Ko­lozsvár. Il voulait devenit professeur de mathématiques. A Kolozsvár il fait la connaissance de l'avocat Tibor Tarján, et sous son influence, il commence à s'occuper sérieusement de l'ornithologie. Depuis 1896 il est en relation avec le Centre Ornithologique, il fournit pour l'évaluation scientifique des données des migrations des oiseaux. En 1898 Ottó Herman engage Jakab Schenk au centre comme assistant, et lui confie la réunion des données des vols de troupes d'oiseaux de l'an 1898. En 1899 il part pour faire son service militaire. Libéré, en 1891 et en 1902 il vit comme précepteur à Sajókaza, et amasse de l'argent pour pouvoir terminer ses universités. Il s'inscrit en effet à la faculté des sciences de Budapest. A ce moment toute son attention s'est déjà tournée vers la faune ailée, c'est pourquoi en 1903 il est déjà de nouveau assistant au Centre Ornithologique. En 1907 Ottó Herman, directeur du Centre Ornithologique Hongrois part pour un congé d'un an. La rédaction de YAquila — périodique scientifique hongrois de l'ornithologie — incombe à Schenk. En 1908 Herman obtient de nouveau un an de congé, et pendant ce temps c'est encore Schenk qui rédige YAquila. Herman désirait que les articles de YAquila paraissent parallèlement en langues hongroise et allemande, ainsi les travaux de la traduction incombaient également à Schenk. En 1908, à l'assemblée générale annuelle de l'Association Ornithologique Allemande, le Centre Ornithologique Hon­grois fut représenté par Schenk qui y tint une conférence aussi sur la migration de la cigogne blanche. En 1908, sur la proposition de Schenk, on a commencé le baguage des oiseaux. La Hongrie était le troisième pays où ce travail scientifique a été instauré. Les tâches de Schenk se multipliaient encore. D'après ses journaux de baguages, il voyageait presque sans cesse. Un jour il bague les cigognes en Transylvanie, le lendemain il travaille déjà au Bas-Danube 20 Verlauf ein neuerlicher Herzanfall dem arbeitsamen Leben Vönöczky's ein jähes Ende bereitete. Er wurde in Kőszeg beigesetzt. Sein Leben erfüllte sich in einer Zeit, die als Hochblüte in die Geschichte der ungarischen Zoologie eingegangen ist. Das zur Zeit der Jahrhundertwende sich angesammelte fau­nistische Material mußte geordnet und systematisch bearbei­tet werden. Ein Löwenanteil dieser Arbeit wurde von Vönöcz­ky bewältigt. Aus seiner Feder stammt die bis zum Jahre 1914 reichende bibliographische Zusammenstellung der un­garischen ornithologischen Fachliteratur und er bearbeitete auch den ornithologischen Teil des ungarischen Fauna-Kata­logs, dessen dritter, neubearbeiteter Namensregister 1938 er­schienen war. Auch die aus der Feder Vönöczky's stammende zusammenfassende Beschreibung der einzelnen Vogelarten sind wertvoll. Bahnbrechend sind ferner Vönöczky's Arbei­ten über den Vogelzug. Nach Jahren geordnet folgt dem ungarischen Text eine Übersicht der aus Vönöczky's Feder stammenden fachlitera­rischen Schriften. András Keve —Károly Jenő Sági Vönöczky Schenk (1876-1945) ou en Bácska. Après les cigognes, il commence le baguage des oiseaux des roselières. C'est ainsi qu'il arrive à Kis-Bala­ton. Le troisième champ de son activité était la pousta. En 1910, à Berlin, ce sont Ottó Herman, Titusz Csörgey et Jakab Schenk qui représentent le Centre Ornithologique Royal Hongrois au V e congrès International Ornithologique. Jakab Schenk a été élu rédacteur de procès verbaux de la section s'occupant du vol de troupes d'oiseaux, où il a tenu une conférence sur «Une expérience dans la recherche du vol de troupes d'oiseaux». Pendant la première guerre mondiale il porte l'uniforme, mais affecté à la zone de l'intérieur, il peut pourtant rédiger YAquila. En 1918 il reçut le titre de secrétaire. Le monde scientifique connaît déjà bien son nom, et en 1920, dans les Mélanges de la Société hollandaise pour la protection des oiseaux, on fait l'éloge de son activité, de ses succès obtenus dans les domaines de l'ornithologie et de la protection de la nature. En 1922 Gilbert Pearson, président de Г1СВР (Comité International pour la Protection des Oiseaux) est arrivé en Hongrie, en compagnie du hollandais Drijver. Schenk leur a montré le Kis-Balaton aussi ; il avait déjà attiré attention dans un article impressionnant sur les hérons en voie de dispara­ître. Il a obtenu l'appui financier de ses hôtes pour engager un «gardien de hérons». Après la première guerre mondiale c'est en 1926 qu'a eu lieu le premier congrès international ornithologique à Co­penhague. Dans son discours d'ouverture, le président, le dr. Harter a fait l'éloge de l'étude de Schenk sur le passage des bécasses sylvicoles. Jakab Schenk a tenu une conférence à ce congrès aussi. Il a tenu également une conférence en 1927, au Xe Congrès International Zoologique, organisé à Budapest. Il a examiné la transmigration des oiseaux, donc c'est la première étude zoodynamique hongroise. Son article, récapitulant des ré­sultats positifs de baguage, a obtenu de grand succès inter­national. En 1927 Jakab Schenk a été nommé directeur. Il s'est rendu nettement compte que la bonne bibliothèque constitue la base du travail scientifique sérieux. En élargissant les rela­tions avec l'étranger, il a créé la grande bibliothèque de l'Institut. En 1930, il a pris part au Vile Congrès International Or­En commémoration de Jakab Vönöczky Schenk (1876-1945)

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