Alba Regia. Annales Musei Stephani Regis. – Alba Regia. Az István Király Múzeum Évkönyve. 17. 1976 – Szent István Király Múzeum közleményei: C sorozat (1978)

Szemle – Rundschau - Fitz Jenő: Epigraphica X. p. 351.

EPIGRAPH!^ X. 20 M. MIRKO vie Septimius Severus und die legio VII Claudia Antoniniana. AArchSlov, XXVIII, 1977, 183-187. C'étaient les vétérans de la legio VII Claudia Antoni­niana qui érigèrent la nouvelle inscription fragmentaire et seulement partiellement lisible de Viminacium. L'auteur complète l'inscription comme suit: [Imp. L. Septimio Seuero Pio Pertinaci Aug. et Imp. Caes. M. Aurelio Antonino Aug. Pio Felici] / et Iu­liae( l ) Do[m]nae matri cast. / uet. leg. VII. Cl. / Anto­ninianae / pro[b. Pollione II] et / Ap[ro cos.] m. / h. [miss.] Seuero /[III. Anton.] cos.( 2 ). Ce complètement est fondé sur l'interprétation de G. Bersanetti (1940, 109) selon laquelle les premiers épithètes impériaux Antoniniana datent du temps de Septime Sévère. L'analyse de ces inscriptions cependant montre unanimement, que sur les inscriptions précédant l'année 211 l'épithète à été gravé ultérieurement (Fitz, 1976, 216 — 217). La nouvelle inscription de Viminacium ne fait pas partie de celles-ci, l'épithète se trouvant dans la 4e ligne est certainement du même âge que l'inscrip­tion même. Cette datation est rendue unanime: la pierre ne puvait être érigé avant 212. Le texte de l'inscription ne contredit pas à la nouvelle datation, bien que le complètement suggéré par l'auteur doit être modifié. Sur la partie supérieure (manquante) de la pierre seul le nom de Caracalla avait pu figurer: [Imp. Caes. M. Aur. / Antonino Aug.] Par contre à partir de la ligne 5 — comme seul les lettres marginales sont conservées — un complètement définitif ne peut être donné. L'auteur a essayé de réconstituer le texte selon sa data­tion, ce qui cependant pourrait être contestable, même si le monument commémoratif avait été érigé en 202. Le texte suggéré et la place des lettres ne concordent pas en une seule ligne. Dans la 5e ligne, entre les lettres pro[b.] au commencement de la ligne et les lettres et à la fin de la ligne il n'y a place que pour 5, tout au plus 6 lettres, or le texte suggéré Pollione II n'est pas possible. Encore que précédant les lettres et — selon la photo­graphie — on recommit les contours de la lettre o. Dans la 6e ligne entre les lettres au commencement de la ligne: Ap[ro cos.] et la lettre finale m il reste encore de la place pour au moins deux lettres, dont la dernière est vraisem­blablement o. Dans la 7 e ligne, entre h. [miss.] et Seuero il y manquent égalament 2 — 3 lettres, tandis que pour la dernière ligne — qui d'après la position de cos. avait sans doute commencé un peu en retrait — le texte proposé III Anton, (qui en soi-même est un peu forcé au lieu de III Antonino qui serait logique) est trop long. D'après l'auteur dans les lignes 5 — 8 nous avons à faire à la locution pro[b(ati ] m(issi) h(onesta) [miss(ione)]. Si nous gardons cette supposition également pour la nouvelle datation, de complètement des lignes 7 — 8 serait h.[miss. Imp.] Seuero / [Antonino] cos. Dans ce cas le pair de consuls, sous lesquels les soldats démissio­nés en 213 avaient été recrutés, ne pouvaient être que les ordinaires de l'an 187. Les lettres finales de la ligne 5 et les lettres initiales de la ligne 6 — et j A — ne permettent pas d'autre com­plètement: [Bruttio]et I A[eliano]. Cette tentative de complètement cependant n'est pas absolument satisfaisante, surtout dans la dernière ligne. A la fin de l'inscription, à la place du nom du consul il pourrait s'y trouver le nom d'un gouverneur inconnu du temps de Caracalla: [sub. . .] Seuero /[...] cos. J. Fitz (1) Dans la description: Iulianae. (2) Dans la description des 7 e —8 e lignes: h. [miss.] Seuero[III Anton. COS.]. BIBLIOGRAPHIE Bersanetti 1940 Fitz 1976 G. BERSANETTI, I sopranomi imperiali variabili degli auxilia delVesercito romano. Athenaeum, N. S. XVIII, 105 - . J. FITZ, Les premières épithètes honorifiques Antoniniana. Oikumene, I, 215 — 224. 351

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