A Herman Ottó Múzeum Évkönyve 27. Tanulmányok a 70 esztendős Végvári Lajos tiszteletére. (1989)
JURECSKÓ László: Ösztöndíjazás vagy „beleegyezéses száműzetés”? (Fülep Lajos itáliai tartózkodásának okai)
Dans sa critique, Fùlep exprime son scepricisme quant au fonctionement de cette théorie et se met aussi en conflit avec Lippich. Le conseiller connaît bien le talent de Fùlep et s'en méfie, il lui propose donc un marché dont tous les deux pourraient profiter. Lippich garantit la bourse d'état à Fùlep, et le critique promit qu'il ne s'occupe pas d'art contamporain hongrois. Il n'écrira aucun article sur ce sujet. A des fins de recherches scientifiques il part pour l'Italie et après quelques années écrit un livre sur l'art du trecento. Ils avaient même décidé ensemble du programme et de la ville où Fùlep pourrait tranquillement travailler: Florence. Lippich voulait ainsi profiter de la compétence de Fùlep, en utilisant de l'intérêt de la culture hongroise. Mais leurs conceptions de la culture hongroise restaient tout à fait différentes. Lippich voulait créer une véritable culture „à la hongroise", différent de celle de l'ouest, en utilisant des références culturelles nationales. Pour Fùlep, la culture hongroise signifiait la culture moderne. Donc Lippich n'a pas pu l'utiliser efficacement pour atteindre ses buts. Malheureusement Fùlep n'a jamais écrit le livre promis et tant attendu. Il a appris la méthode de la recherhe scientifique en Italie, a accumulé énormément d'informations et de matière, mais il se réfusait a publier sans en apprécier l'entité. Cependant sa promesse faite à Lippich et plus tard ses problèmes d'argent l'obligèrent à publier quelques articles malgré lui. On peut déceler les sources d'un certain „complexe de production". C'est pourquoi il ne publie à cette époque aucune monographie scientifique sur Part, bien qu'ayant produit une multitude d'écrits qui est jusqu'alors restés sous forme manuscrite. Lâszlô Jurecskô l\K