Levéltári Közlemények, 59. (1988)

Levéltári Közlemények, 59. (1988) 1. - Bertényi Iván: Címerváltozatok a középkori Magyarországon / 3–80. o.

Címerváltozatok a középkori Magyarországon 79 ного органа, в котором дворянская грамоте переписана и герб написан, воспроизводит герб переписанной грамоты не до мельчайших подробностей (как напр. транскрипция герба города Кешмарк 1463-ого г. в сепешской капитуле в том же году). На основании всего этого, при геральдическом, искусствоведческом и т. п. анализе какого-то герба, перед выведением далеко идущих заключений рекомендуется выискать и сохраненные гербовые варианты. CHANGEMENTS ET VARIATIONS DES ARMOIRIES EN HONGRIE AU MOYEN ÄGE Iván Bertényi La maniére de voir héraldique traditionelle tient registre d'habitude d'un blason d'un propriétaire des armoiries. Les dórogation ä cette regle — si des choses pareillés se produisent — passent pour brisure, ou plutót on les considére que la famille, la ville etc. problématique prit un nouveau blason ou les lignes différentes de la famille porterent les blasons déviants. Les sources montrent toutefois ce que la grandé partié de nos armoiries médiévales ne suivent pas ce principe traditionel. Non seulement les reproductions inexactes des hérauts et des orfévres eréérent plusieurs variations de quelques armoiries, mais cer­tains propriétaires de blason aussi porterent — consciemment — les armoiries différent dans les détails ou tout ä fait, cas pour cas paralellement a l'un de l'autre. Le champ plusieurs fois coupé et la double croix devenus au blason d'État hong­rois se produisent sur les monnaies, les sceaux des rois hongrois depuis le XIII е siécle tour ä tour — plus tárd souvent ensemble aussi —, cas pour cas change le nombre des coupés (des fasces) aussi, entre les coupés (les fasces) des lions possent en nombre alter­nant, les bouts des branches de la double croix peuvent étre de perfeetionnement diffé­rent, un piédouehe, un arc tribolé peuvent parvenir ä son support, quelques fois met-on une couronne d'épines au croisement supérieur des branches etc. Les Angevins attachent le champ d'azur semé par les fleurs de lis d'or et le cimier d'autruche mordant un fer ä cheval aux figures jusque-lá utilisées, et ainsi figurent les plus diverses combinaisons sur les monuments héraldiques d'époque. En essence, on peut remarquer la mérne chose: la fusion du blason familial avec le champ fascé hongrois et la double croix sur les sceaux, les piécea de monnais etc. des rois d'autre famille aussi. Le nombre des variations des armoiries continue de s'élargir de ce qu'ápres l'élec­tion de Louis (Lajos) le Grand auroi de laPologne (1370), nos souverains portent d'habitude le titre princier et le blason d'autres pays et provinces aussi, et ils les font figurer dans le plus différent aménagement sur leurs sceaux et leurs piéces de monnais. En outre á la deuxiéme moitié du moyen äge, l'emploi des armoiries des certains pays annexes et de provinces accessoires de la couronne hongroise (le plus souvent la Dalmatie) passe en habitude aussi. A partir d'Erzsébet Lokietek (+ 1380) de la femme de Károly Róbert, nos reines font apparaitre leurs propres armoiries familiales aussi (a coté de celles de leurs époux royal). Ainsi les variations des armoiries dusouverain et de reine se produisent en tel grand nombre vers la fin du moyen äge qu'elles deviennent présque embrouillées. En cas des armoiries familiales et municipales, les variations combinées avec les armoiries provinciales ne sönt pas représentatives, mais les compléments et changements des armoiries sönt assez fréquents. II arrive plusieurs fois que les armoiries récemment données ne furent pas prises par toutes les branches d'une famille. Ces cas sönt les plus interessante quand une personne physique ou juridique utilisent paralellement les sceaux avec les blasons différents. La cause en est cas pour cas la manque de place: ainsi par exemple on grave moins des merlets de la famille Drugeth aux cachets de la moindre superficie que ä ceux de grandé superficie. La face ä blason forcé et le re vers figurant un chäteau ä trois tours (sans blason) du grand double sceau de Buda du XIII е siécle arri­vent unifiés au plus petits sceaux de maniére qu'on fait figurer les deux derniers tours seulement en haute marge de l'écu. Le grand sceau du juge de pays (index curiae) Jakab Szepesi (1372 — 1373, 1373 — 1380) montre un tronc d'arbre (une branche émondée) tenu par un bras f léchi, lä-dessus et des deux cotés avec une étoile ( en somme trois) stylisée et á quatre branches. Les sceaux plus petits montrent un rameau de sapin divisé en trois branches dessus une étoile stylisée. Cela s'observe souvent que les armoiries différentes du mérne propriétaire des armoiries qui nous sönt échues, montrent la mérne figure héraldique dans la position re­gardant ici á droite lä ä gauche. La cause en est: ,,la politesse héraldique". On ne veut

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