Levéltári Közlemények, 26. (1955)

Levéltári Közlemények, 26. (1955) - IDEGEN NYELVŰ KIVONATOK - Francia nyelvű kivonatok / 388–398. o.

3Q2 - Resume action, etc. Parmi les documents des lieutenants des nobles, on ne trouve plus que les procès-verbaux des délibérations, avec les documents annexés. Ces archives ne comprend guère de documents antérieurs au commencement du XIXe siècle, parce qu'en 1810, le bourg a été dévasté par un incendie. LES ARCHIVES ÉCONOMIQUES DE L'ARCHEVÊCHÉ D'EGER Imre SOÓS Fondé par le roi Etienne 1er au XI e siècle, l'évéché d'Eger fut promu au rang d'archevêché sous le règne de Marie-Thérèse. Grâce à ses immenses richesses, il a toujours compté parmi les grandes propriétés les plus rénumératrices du pays. Ses archives économiques renferment, aussi bien pour sa période d'évéché que pour la suite, les documents issus de l'activité de la direction centrale des domaines. Le matériel occupe 170 mètres courants. À la suite du classement effectué entre 1820 et 1830, ce matériel se groupe en sept classes. La première en comprend les titres de do­nation et de propriété des domaines de l'évéché, les conscriptions, les documents rela­tifs aux redevances seigneuriales, les contrats et les cartulaires manuscrits, de 1261 à 1900. La deuxième classe contient les documents relatifs à la justice seigneuriale, de 1700 à 1848. La troisième classe comprend les registres de la perception de la dîme du diocèse d'Eger, qui s'étendait sur les dix comitate du Nord-Est de la Hongrie, de 1550 à 1848. La quatrième classe se compose des documents de l'évêque d'Eger en sa qualité de préfet du département de Heves, de 1726 à 1807. La cinquième classe est la plus volumineuse. Elle comprend d'une part les documents issus des activités de la direction centrale des domaines et les procès-verbaux des conférences de l'administra­tion des domaines, de 1762 à 1848 et, d'autre part, les documents de trésorerie, de comptabilités, les registres de recettes et de dépenses du service de l'audition des comptes, ainsi que les registres de rendement et de gestion des divers domaines, de 1695 à 1923. La sixième classe comprend des mélanges, parmi lesquels il convient de citer la précieuse série des correspondances particulières (1762—1795) de l'archevêque Károly Eszterházy dont le nom reste attaché aux grandes constructions de style ba­roque qu'il avait fait entreprendre. La septième classe se compose de la correspon­dance économique, par ailleurs défectueuse, de la direction des domaines (1858— 1944), ainsi que ses documents de comptabilité, comptes courants et registres de comp­tes, de 1910 à 1944. En raison des destructions opérées par les Turcs, ces archives ne conservent pas de documents originaux du Moyen-âge. Sa partie la plus volumineuse et la plus précieuse est constituée par les documents datant du temps de l'archevêque Károly Eszterházy, permettant d'élucider, jusque dans les détails les plus précis, les ' problèmes financiers relatifs aux grandes constructions. HISTORIQUE ET DOCUMENTS DES COOPÉRATIVES INCORPORÉES À LA FÉDÉRATION NATIONALE DES COOPÉRATIVES (SZÖVOSZ). Zoltán SÁRKÖZI et István SZIGETVÁRI Né en 1844, dans un atelier de tisserand de la 'Little Frog Street,' appartenant aux Équitables Pionniers de Rochdale, le mouvement coopératif a conquis le monde entier. Sous l'ère du capitalisme, les diverses coopératives, en premier lieu celles de vente et de consommation, apparaissent partout, dans les pays les plus avancés du globe. Depuis la Grande Révolution Socialiste d'Octobre, de nombreuses coopératives de production sont nées en Union Soviétique, dans les démocraties populaires et en Chine. En Hongrie, ce fut d'abord, au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, la constitution d'établissements de crédit foncier, puis, pendant la dernière dizaine d'années du siècle apparurent les premières coopératives de consommation et de vente. La plus importante de toutes fut -«Hangya», fondée en 1898. Ses fondateurs appartenaient à la classe des grands propriétaires hongrois, entre les mains desquels l'Organisation devait servir à canaliser le mécontentement du peuple travailleur et à freiner le mouvement révolutionnaire. En 1919—1920, «Hangya» joua un rôle contre­révolutionnaire; par la suite, en raison des subventions qui lui étaient octroyées par

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