Fekete Nagy, Antonius – Makkai, Ladislaus: Documenta historiam Valachorum in Hungaria illustrantia, usque ad annum 1400 p. Christum. (Budapest, 1941. Études sur l'Europe Centre-Orientale. 29.)

L'original, sur parchemin et portant en bas un fragment de son ancien sceau double suspendu sur un cordon de soie, se trouve aux archíves de Gyömrő de la famille de Teleki (El. XX, f. 1, No. 2). On y garde aussi deux transcriptions de 1346, Edition: Mihályi, p. 6, Extráit: Iványi, A Teleki család gyömrőí levéltára, p. 76. 41. Avignon, le 8 mai 1328 Le pape Jean XXII engage les prélats de Hongrie á n'étre trop sévéres dans l'exaction de la dime des Coumans, des Rou­mains et des Slaves récemment convertis (Cumanis, Alachis et Sclavis] pour ne pas les éloígner de l'Eglise. Dátum Avinione VIII Idus Maii, Pontificatus nostri anno duodecimo, L'originál est inconnu. Une copie de l'époque se trouve dans les regístres papaux du Vatican (Johannis XXII, An, XII, com, de Curía ep-4). Edition: Theíner, Vetera monumenta Hung. I, p, 519; Hurmuzakí—Densu­sianu 1/1, p. 609. 42. Avant le 20 juin 1331 Extráit d'une énumération des revenus du chapitre de Tran­sylvanie: ,,Item eodem anno et die Adrianus decanus exactor quinqua­gesime nostre olacalis de omnibus kenezis nostris 1 pro debitis ipso­rum, quibus nobis ipsi kenezi quolibet anno tenentur, presentavit nobis ín specie novem marcas et fertonem fíni argentr et tres fer­droits nobíliaires quí y étaient attachés. Nous aurons souvent l'occasion de con­stater que les kénézes ne faisaient jamaís partié de l'ordre des nobles de la Hongrie, 1 Comme nous avons vu (No, 21—23 et 38), le chapitre de Transylvanie avait des colons roumains dans les localités Enyed—Aíud, Fülesd (disparu), Dá­lya—Daia, Ompoica—Ompoica et Nyirmező—Poíana Aiudului. Ces colons étaient obligés au payement de la „quinquagesima" qui, á l'origine, avait consisté dans la prestation de deux moutons sur 100, mais qu'on pouvaít payer plus tard aussi en argent comptant. La collection de cet impőt était confiée aux kénézes qui, par conséquent, étaient les représentants du chapitre. 2 Le marc comme poids de métal avait des valeurs trés variées aussi bien en Hongrie que partout en Europe. Dans ce cas il est question probable­ment du marc transylvain qui pesait 206.76866 gr. (v. Valentin Hóman, Ma­gyar pénztörténet — Histoire de la monnaie hongroise, Budapest, 1916, p. 100). Le fertő était le quart du marc; secinus ou sectinus, par contre, correspon­daít á 1/32 de la méme unité (ibid, p, 108),

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