Les facultés de médecine des Universités royales hongroises de Budapest et de Kolozsvár (Budapest, 1909)
VI AVANT-PROPOS et poursuivre leurs travaux scientiíiques, montrant ainsi combién ils apprécient l’influence si puissante du Travail scienti- fique et de l’Enseignement médical sur le progrés intellectuel, social et matériel de 1 ’Etat et de la Nation. Le développement des Etablissements universitaires qui ont pour but l’enseignement de la Médecine a été extrémement rapide chcz nous, plus rapide mérne — j’oserai le dire — que dans maints autres Pays plus riches que la Hongrie et de plus ancienne civilisation. Ge progrés réellement merveilleux est dű, en premiere ligne, a MM. les Ministres Royaux de l’Instruction publique qui se sont succédé depuis une vingtaine d’années et qui, tous, í'avorisérent dans la plus large mesure la grande am vre. Le Conseiller ministériel M. le Prof. Dr. Louis de Tóth, Directeur de l’Enseignement supérieur au Ministére, fut leur constant conseiller, leur indispensable collaborateur. D’aprés un vaste plan congu d’avance et méthodiquement poursuivi, il a fait avancer pas ä pas la construction des nouveaux éditices universitaires et la réforme de l’enseigne- ment médical. II me semble fort avantageux que MM. les Directeurs des Instituts et des Gliniques aient rédigé, comme chacun d eux 1 enteiidait, les descriptions de leurs Etablissements. Les chapitres de cet ouvrage sont, ainsi, plus variés, plus individuels, plus vivants. En outre, le lecteur peut mieux se rendre compte des particularités que présente, chez nous, I enseignement théorique et pratique des Sciences médicales. Je prie tous ces Messieurs de vouloir bien agréer i expression de ma trés vive reconnaissance. Je dois, en outié, de chaleureux remerciements a M. le Dr. Denis de
