Grósz Emil dr.: Előadások, beszédek, tanulmányok 1900-1925 (Budapest)
Beszédek - Rapport de M. Le Secrétaire Général sur les Travaux Préparatoires du Congrés (XVI. Congrés International de Médecine Budapest 1909.)
75 préts á nous aider avec le plus grand empressement. Ainsi avonsnous réussi ä preparer notamment la creation d une Commission permanente internationale pour nos Congrés et la question si importante des intervalles qu’il y aura lieu de laisser désormais entre leurs sessions. Des propositions vous seront faites, sur l’un et sur l’autre sujet, á la séance de cloture. C’est aussi grace ä l’aimable et puissant appui des Comités nationaux que nous avcns pu donner ä cette Assemblée un caractére réellement et essen-- tiellement international. Nous ne comptons pas moins de 2239 membres étran- gers, qui se repartissent par pays de la mamére suivante : Allemagne 332, Amérique (Etats-Unis) 260, Argentine 40, Autriche 302, Belgique 50, Bosnie- Herzégovine 9, Brésil 25, Bulgarie 20, Chili 5, Cuba 8, Dänemark 12, Egypte 23, Espange 69, France 286, Grande-Bretagne et Irlande avec les Colonies 103„ Gréce 22, Italie 184, Japon 53, Mexique 3, Monaco 2, Nicaragua 1, Norvégé 2,. Pays-Bas 33, Portugal 33, Roumanie 10, Russie 273, Serbie 8, Suede 6, Suisse 32, Turquie 23, Uruguay 6. En ajoutant les 1588 membres hongrois, notre Congrés compte au total 3827 membres, qui sont accompagnés d environ 1000 personnes de leurs families. Enfin, nous avons 180 représentants de la Presse. Cela fait un total général de plus de 5000 membres et adhérents. Les Gouvernements sont représentés par 280, les Universités par 150, les Autoritás municipals et autres par 150, les Sociétés médicales et autres 340, enfin diverses Institutions par 7, délégues ä notre Assemblée scientifiqueEtant donné que le premier Congrés international de Médecine, qui se réumt íl y a quarante-deux ans ä Paris, comptait 333 membres framjais et 589 étrangers et que notre derniére Assemblée á Lisbonne, en 1906, possédait 1 762 membres, nous pouvons parfaitement en conclure non seulement que les- Congrés internationaux de Médecine n’ont rien perdu de leur force detraction, mais encore que leur vitalité s’accroit avec le temps. J’ai la ferme conviction que la source de cette vitalité est le but rigoureusement et exclusivement scientifique de nos Réunions. Déjá la premiere Assemblée ä Paris pronon^a que «le but du Congrés est exclusivement scientifique». Cette mérne disposition est inscrite, aussi, tout au début de notre Réglement. Je sais bien, Messieurs, qu á l’avis de nombreux Confréres, les grandes Assises internationales de la Médecine ne sauraient servir qu ä nouer et á en- tretenir les relations personnelles. Tout de mérne, permettez moi de nourrir l’espoir qu’en parcourant le programme de cette Assemblée, vous acquerrez la conviction que justement de nos jours — a l epoque de la spécialisation a outrance des Sciences médicales — le travail commun répond a un beosin : ä un besom impérieux et urgent. Grace au zéle des Présidents gérants de nos Sections et á l’empressement de MM. les Rapporteurs et Auteurs des Communications, nous avons pu réussir, cette fois aussi, a maintenir dans toute la force du terme le but exclusivement scientifique des Congrés internationaux de Médecine. Le temps du labourage et des semailles s’est écoulé ; maintenant vient