Folia archeologica 7.

Idegen nyelvű összefoglalók

238 guée à l'arrière plan. Le devoir primaire de la »Providentia Augusti« est de pourvoir aux besoins du peuple, en premier lieu à ceux de la population de la ville de Rome ; c'est pourquoi elle apparaît souvent sur les revers des monnaies parallèlement aux reproductions ayant trait à l'alimentation. Plus tard, au milieu du Ille siècle, c'est l'eftigie de Mercure qui apparaît avec elle, tenant dans la main levée le sac à argent. Cette association des images semble déjà indiquer que la sollicitidue de l'empereur s'attachait presque exclusivement à l'acquitte de sa promesse faite aux soldats de leur donner de l'argent. Dans ces mêmes temps la »Providentia Deorum« n'apparaît sur les revers des monnaies que fort sporadiquement et fait expressément appel à la fidélité des soldats à l'empereur. C'est après de tels antécédents qu'apparaît, entre 324 et 328, dans tous les ateliers monétaires de l'empire romain la frappe »Pro­videntia« à porte de camp. La recherche a jusqu'à présent considéré une v ariante de la monnaie à porte de camp, pourvue de la légende VICTORIAE SARMAT1CAE, frappée sous Dioclétien, comme un document de la construction de forteresses exécutée par l'empereur en 294, entreprise qui peut être rattachée à une donnée des Fasti d'idatius. Ce type n'est cependant qu'une forme de transition entre les types plus anciens de la représentation en perspective de la forteresse et le type simple de la porte de camp, à l'époque de la I èr e Tétrarchie. Elle ne peut être liée à un événement historique, et en aucun cas à 294. Le type à l'inscripiton »Providentia« se répand sous Constantin I e r et restera en usage jusqu'à la frappe des monnaies mises en circulation en 328, portant la légende CONSTANTIANA DAPHNE. Elles sont ainsi en rapport étroit avec l'entreprise grandiose de l'empereur de construire des camps et de fortifier les frontières,fait qui se trouve, particulièrement au cours inférieur du Danube, bien attesté par des trouvailles archéologiques. M. Lenkei : THREE SILVER DISHES FROM MOESIA IN THE HUNGARIAN NATIONAL MUSEUM In 1908 the Hungarian National Museum acquired three silver dishes of the late Roman type (see Pis. XXXIII — XXXV). An entry in the inventory records that the dishes were sold by Wasa Kovacsevics on behalf of an estate in Sabac. The seller gave the information that the dishes had come to light from an earthwork at the river Vukodzaia where it enters the river Sava. The three dishes form a hoard in themselves. Their age can be determined by comparison to similar treasures from all over the Roman Empire (see map of finds). For our purpose the most important of these finds are those from the hill Traprain Law containing objects mostly from the 4th century, and the treasure of Chaource, near Montcornet in Gallia, that must have been derived from the 2nd and 3rd centuries. The Projecta treasure from the Esquiline and the Mildenhall hoard in Britannia also derive from the 4th century. The radiate dish (Pl. XXIII) from the Sabac treasure suggests analogies by its decorative details and construction. One of the analogous pieces is the Chaource dish (Fig. 13, no. 1). A rim of similar type can be seen on the dish from Cesena (Fig. 13, no. 4). One of the decorative elements on the radiate dish

Next

/
Oldalképek
Tartalom