Folia archeologica 1-2.

László Gyula: Egy régensburgi vállkő

248 KÖNYVISMERTETÉSEK— BIBLIOGRAPHIE Préhistoire. Amália Mozsolics. EIN BRONZEZEITLICHER TONGEGENSTAND MIT BLUMENDARSTELLUN­GEN AUS DÁRDA. Pannónia, 1939, 6—7, p. 284—286. L'auteur s'occupe d'un objet, provenant de Hongrie et décoré de fleurs, de l'âge du bronze ancien. János Banner. AZ ARCHEOLÓGIAI ÉRTESÍTŐ BIBLIOGRÁFIÁJA. 1881 — 1937. Dolgozatok. Szeged, 1938. p. 1—89. Bibliographie détaillée de cette pé­riodique représentative hongroise. Les travaux y sont rangés d'après leurs sujets: paléolitique, néolitique, l'âge du cuivre, l'âge du bronze, l'âge du fer ancien I—II, La-Tène, temps romain I—II, période des Huns, période des Germains, période des Avars, Période de l'occupation hongroise, période des Árpádiens, tumuli, fortifications, musées, sociétés scientifiques, périodi­ques, divers, mémoires. La liste des lieux de trouvailles qui est déjà élaborée, se trouve dans l'Institut Pré­historique de l'Université de Szeged. Sándor Gallus. LAMPES FUNÉRAIRES A L'ÂGE DE FER ANCIEN DE L'EUROPE CENTRALE. Ar­cheológiai Értesítő. 1938, p. 17—28. Les petits «Mondi­doles» de l'âge de fer ancien ne sont pas autres chose que des lampes à chenets. Les lampes à chenets (un petit chenet dans une terrine) montrent dans leur ornementation plastique certaines particularités du «kernos» méditerranien. L'usage des petits chenets comme lampe a ses parallèles ethnographiques en Autriche, et quelques noms anciens du chenet en fer, qui est usité de nos jours, ont conservé la signification de «place limitée par rapport aux bûches brulentes». (Résumé français p. 29—32). István Brunner. FELTÁRÁS A LOVASBF.RÉNY ­JÁNOSHEGYI URNATEMETŐBEN. Székesfehérvári Szemle. 1938, III— IV. p. 83—86. Le musée de Székes­fehérvár fit faire des fouilles dans un cimetière à incinération du type Vatya (âge du bronze II). Archéologie classique. Károly Kerényi. DIE GÖTTIN DIANA IM NÖRD­LICHEN PANNONIÉN. Pannónia. 1938, 6—7, p. 203— 221. La Déesse Diana outre son culte bien connu, avait un culte en tant que protectrice des mères et des épouses. Le sol barbare de la Pannonié semble avoir été prédestiné à accueillir le culte de la déesse. Quoique cette divinité fut l'invention des Grecs ses traits essen­tiels vivaient dans l'âme des peuples les plus divers, sans trouver pourtant une expression caractéristique. En Pannonié 1' «interpretatio romana» pouvait trouver un appui dans les sentiments analogues de la population indigène. Mihály Párducz. LIEU D'HABITATION DE L' ÉPOQUE ROMAINE À HÓDMEZŐVÁSÁRHELY (SOLT PALÉ). Dolgozatok. Szeged, 1938, p. 90—123, pl. I—IV. Les habitants étaient des barbares indi­gènes ou des Sarmato-Jazyges. (Ill-e siècle apr. J.vChr.) Le lieu d'habitation a fourni aussi quelques cavernes pleines de débris datant du temps de fer ancien (Hall­statt B). Les cavernes en question sont Nr. 16, 27 et 36. András Alföldi. BIBLIOGRAPH IA PANNONICA. Pannónia, 3—5, p. 155—200. Bibliographie détaillée des travaux concernant les problèmes locaux et géné­raux qui ont trait à cette région. Antal Hekler. RECHERCHES ICONOGRAPHI­QUES. Archeológiai Értesítő. 1938, p. 1 — 16. L'auteur identifie plusieurs portraits. Il publie un portrait de Jules César (Musée de Mussolini, Rome), un portrait de l'empereur Claudie (en propriété de M. Philippe Léderer, Berlin), et un portrait de l'empereur Trajan (Rome, Vatican). L'identification d'un portrait de L.ici­nius Sura est également très convaincante. (Résumé allemand p. 123—126). János Szilágyi. UN STÈLE FUNÉRAIRE DU TEMPS DE DOMITIEN AU MUSÉE DE ESZTER­GOM. Archeológiai Értesítő. 1938, p. 45—54. Le stèle fut trouvé a Dunaszentmiklós. Le nom du défunt était Saco (nom celtique). C'était un membre de 1 «ala militaria Flavia Domitiana civium Romanorum Britan­nica». Il est très probable que ces cavaliers avaient leurs garnison à Brigetio. (I. siècle apr. J. Chr.) (Résumé allemand p. 130—131). Gizella Erdélyi. UN PORTRAIT D'HADRIEN Á ATHÈNES. Archeológiai Értesítő. 1938, p. 113—116. Le portrait représente une forme élaborée en Grèce. (Résumé allemand p. 151). István Paulovits. LES FOUILLES DE LA BAZI­LIQUE DE SAINT QUIRIN A SA VARIA. Vasi Szemle. 1938, 3. p. 138—152. Les fouilles ont fourni d'impor­tantes mosaïques chrétiennes apparentées à celle de la Basilique d'Aquilée. A. Barb. DER HÜGELGRÄBERFRIEDHOF VON FELSŐSZ ÉN ÉGETŐ UND DIE RÖMERSTEINE VON FELSŐKÉTHELY. Vasi Szemle. 1938, 4, p. 218— 232. Le cimetière date des temps romains (I—II siècle apr. J. Chr.). On peut établir que les morts furent brûlés dans le tumulus, même que la voûte du tumulus fut bâtie. Le mobilier des tombes prouve l'existence d'une population indigène qui avait gardé son carac­tère ethnique jusqu'à une époque relativement tardive. L'auteur s'occupe de plusieurs noms-propres: Vannius, Samuca, Respecta. Ä son avis Respecta est le synonyme latin du mot barbare Samuca. «Samo» aurait le sens «spectatus» ou «respectatus» (vénérable). Le nom serait d'origine illyrique. Temps des migrations. Mihály Párducz. DER GOTISCHE FUND IN CSONGRÁD. Dolgozatok. Szeged, 1938, p. 124- 138, pl. V— VI. La sépulture doit appartenir au Wisigoths qui participèrent aux migrations des Huns. (420—430 apr. J. Chr.) Lajos Kiss. UNE SÉPULTURE DU TEMPS DE L'OCCUPATION HONGROISE Ä BESZTERCE— GYALAPTANYA. Dolgozatok, Szeged, 1938, p. 201 — 205. Il publie le dessin d'une épée carolingienne. Gyula László. DES FEUILLES D'OR BYZAN­TINES TROUVÉE A KUNÁGOTA. Arch. Ért. 1938, p. 55—86. Les feuilles d'or trouvées dans une sépulture avare étaient des applications sur une boite en bois. Elles ont été faites a Byzance (VI-е siècle apr. J. Chr.). L'orfèvre avare a coupé les feuilles empressés, portant des scènes cultique dionysiaque, et les appliqua comme parure de sabree. La sépulture peut être datée d'après

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